Il y a eu tellement de polémiques, de polémiques, de sujets brûlants en 2024, que je termine l’année avec plus de questions que de réponses. J’ai passé en revue 2024, et voici quelques-unes des questions qui m’ont traversé l’esprit…
Une année en montagnes russes
- Le 15 juillet, dans une chronique intitulée Valérie Plante se moque de nousJe vous l’ai dit : « La première chose qu’on voit en entrant dans l’hôtel de ville de Montréal, fraîchement rénové, c’est une femme voilée. » Le 28 octobre à Tout le monde en parleValérie Plante a affirmé que l’affiche serait retirée, car : « Je comprends, le malaise […] Nous sommes dans une société laïque et nos institutions doivent être laïques. On apprend cependant que cela ne se fera qu’en février 2025. Alors je me demande : « Est-ce que Valérie Plante se moque de nous ?
- Le documentaire qui a fait couler le plus d’encre (et de salive) en 2024 est sans aucun doute Alphassur les mâles alpha. Au cours de cette enquête, nous passons beaucoup de - à détailler le fait qu’il s’agit d’hommes barbus, religieux, qui fréquentent les lieux de culte et qui ont une vision rétrograde du rôle de la femme. À quand un documentaire sur d’autres barbus, d’une autre religion que catholique ?
- En décembre, Madonna a « semé la polémique » en publiant « des images provocatrices générées par l’intelligence artificielle la représentant en lingerie, blottie contre le pape François ». Madonna aurait-elle le courage de partager des photos d’elle à moitié nue aux côtés d’un imam ?
- Deux essais ont marqué l’année, l’un en France, l’autre au Québec. En France, Gisèle Pelicot, victime de viol de la part de son mari et 50 coaccusés, est devenue la figure des « violences faites aux femmes ». Au Québec, un homme accusé du meurtre de sa femme et de ses deux enfants s’est déclaré femme et est incarcéré dans une prison pour femmes, simplement sur la base de ses « sentiments ». Je pose donc la question : que signifient les droits des femmes, si n’importe qui peut s’appeler « femme » simplement en mettant une perruque sur sa tête ?
- On a beaucoup parlé cette année de cette question devenue virale sur TikTok : « Êtes-vous un femme dans un forêt. Avec qui préféreriez-vous finir : un homme ou un la nôtre?» Presque toutes les femmes ont répondu « un ours ». Mais si l’homme s’identifie comme une femme et vous explique que ses pronoms sont « elle », allez-vous quand même préférer croiser la route d’un ours ?
- Le 4 décembre, on apprenait que dans le nord de l’Ontario : « Un homme est venu en aide à sa femme lorsqu’ils se sont retrouvés nez à nez avec un ours polaire devant leur résidence. L’homme, qui a sauté sur l’ours polaire pour sauver sa femme, se remet de graves blessures au bras et aux jambes. Je me demande : que pensent les chroniqueurs néo-féministes obsédés par la masculinité toxique de cet homme courageux ? Par quel tour de passe-passe vont-ils inventer pour nous dire que c’est toujours « la faute des hommes » ?
Au revoir, 2024
Sur ce, je vous quitte. Et pour paraphraser une chanson écrite par mon ami Pierre Huet : « 23 décembre, Joyeux Noël, Monsieur Côté / Bonjour ti-cul, à bientôt / 7 janvier. »
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