Le territoire du Métropole grenobloise est organisé pour offrir lieux de refuge aux victimes de violence basée sur le genre et sexuel dans la rue et dans d’autres lieux publics. L’appareil appelé Tiens, demande Angela est née en Grande-Bretagne et arrivée en France pendant la crise sanitaire en 2020.
Le principe : une personne, le plus souvent une femme, qui subit un geste inapproprié ou tout autre comportement intolérable (harcèlement ou autre) dans un lieu public, y compris dans une entreprise, doit pouvoir contacter rapidement une personne qui l’accueillera et l’accompagnera. vers un lieu sûr. La victime est invitée à poser la question : “Où est Angèle?”ce qui permet de déclencher l’alerte en toute discrétion.
Dispositif Angela pour lutter contre les violences sexistes et sexuelles : dix communes de la Métropole grenobloise impliquées
La Métropole grenobloise joue le rôle de coordinateur avec des communes qui s’engagent à former leurs agents et à mettre en place des lieux de refuge. Pour l’instant, dix communes sont partie prenante including the three largest cities: Grenoble, Échirolles and Saint-Matin-d’Hères. The others are: Eybens, Fontaine, Le Pont-de-Claix, Meylan, Saint-Égrève, Sassenage, Seyssins and Veurey-Voroize.
95 emplacementsdont des équipements publics comme la patinoire Polesud ou le Stade des Alpes à Grenoble et un une cinquantaine d’entreprises, dont de grandes enseignes comme le magasin E. Leclerc de Comboire à Échirolles (lire plus loin), sont déjà concernées et affichent visiblement une étiquette Ici, demande à Angela. Les agents municipaux ou métropolitains de ces sites ainsi que les commerçants ou salariés des commerces concernés ont bénéficié d’un formation dédié afin d’adopter un bon comportement envers la victime.
A savoir, être écoute de la victime d’une manière bienveillant et sans porter de jugement, permettez liberté d’expressionle rester en sécurité le - que nécessaire dans un endroit à l’abri des regards indiscrets, apportez-lui un soutien matériel (accéder à un téléphone, fournir les contacts d’associations comme le Centre d’information sur les droits des femmes et des familles de l’Isère ou des services spécialisés dans l’aide aux victimes, etc.).
Des « anti-relous » bientôt des sifflets dans les commerces et équipements publics de la Métropole grenobloise
« Il s’agit d’une première phase de déploiementindique Christophe Ferrari, président de Grenoble Alpes Métropole, dont les services coordonnent la formation (par visio). L’objectif est d’augmenter la masse pour qu’à terme il y ait un espace de protection en chaque lieu. »
Au magasin E. Leclerc de Comboire, la direction a formé Angela à une vingtaine de salariés, principalement ceux qui sont présents aux points d’accueil des clients. “Cela concerne notamment les personnes à l’accueil des hypermarchés, aux coins snacks ou encore à la pharmacie.indiquer Catherine et Olivier Trichetdirecteurs de magasins depuis 2017. Nous disposons d’une salle dédiée à l’étage, à l’abri des regards, y compris de nos collaborateurs.
Corinne Lemarieyconseiller métropolitain chargé de l’égalité entre les hommes et les femmes et président de Territoires de Sciences, indique également que sifflets « antirelous »imprimé en 3D, à La Casemate, sera accessible au public dans certains équipements publics et commerces dans les prochaines semaines. “Ainsi, si une victime ne se trouve pas à proximité d’un lieu de refuge, elle peut utiliser ce sifflet pour alerter.”
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