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Dans la Somme, un couple élève des races de chiens rares

Cette année, dans le monde, seules deux portées de chiens épagneuls de Pont-Audemer ont été recensées, dont une avec Lorena Gleiss et Thomas Anache, qui vivent à Cambron, dans la Somme. La seconde est située dans le Massif Central. Au total, il n’existe que 200 de ces chiens connus pour être efficaces à la chasse et d’excellents compagnons.

“C’est une race normande rare, je pense que c’est leur physique qui rebute”, explique Lorena Gleiss, chasseuse et apprenante en langues étrangères dans un lycée. Ils ont une bouffée et des boucles. Cela ne vous plaira peut-être pas… Ce sont des chiens très calmes qui peuvent vivre en appartement. »

Huit chiots sont nés cette année à l’élevage des Lauriers de Barberousse. L’un d’eux est allé en Suisse, un autre en Allemagne. Le couple a gardé deux femelles. Le plus compliqué est de trouver un parent. Lorena Gleiss et Thomas Anache ont dû transporter leur femelle en Allemagne où elle est restée cinq jours. Pour une amie qui va leur confier son chien en 2025, ils devront partir en Angleterre.

Amoureux de races canines confidentielles, le couple élève également des épagneuls picards, il en existe 400 en . On les retrouve également en Allemagne, aux Etats-Unis… Lorena Gleiss et Thomas Anache ont un mâle et deux femelles : « Ils ressemblent davantage à des setters », décrit l’éleveur. Ils sont aussi amicaux et calmes que les épagneuls de Pont-Audemer mais sont plus grands et ont plus d’énergie. Ils sont destinés aux familles qui chassent et qui n’habitent pas en ville. » Leurs chiots sont vendus 1 000 euros.

 
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