L’ouverture à la concurrence est déjà effective, loin de Paris, où Keolis, Transdev, SAVAC ou encore CAP RATP se sont partagés les 1 300 lignes de bus de grande couronne en 2022. Désormais, c’est au tour des bus parisiens d’être concernés, ce qui met fin à un monopole de 80 ans sur la RATP. Reste à savoir si ce big bang sera bénéfique pour les usagers et pour les finances publiques.
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Les transitions entre opérateurs sont parfois douloureuses. Ce fut particulièrement le cas à Saclay. Alors quel bilan, deux ans après ? Parigo mène l’enquête.
Régularité, ponctualité… L’arrivée de ces nouveaux opérateurs était censée résoudre tous ou presque tous les problèmes. Mais les voyageurs sont-ils vraiment sortis gagnants de ce grand bouleversement ? Entretien avec Marc Pélissier, président de la principale association d’usagers d’Île-de-France.
Nous nous intéresserons ensuite aux conséquences sociales de ce basculement sans précédent : les 30 000 chauffeurs de bus de la région sont tous susceptibles de changer d’employeur du jour au lendemain. Une incertitude qui inquiète toute la profession.
Nous chercherons enfin à savoir si, oui ou non, l’ouverture à la concurrence côté bus permet à Île-de-France Mobilités de faire des économies, alors qu’un big bang similaire se profile sur le métro, le RER et le Transilian. Entretien avec Marc Ivaldi, président de l’Association française d’économie des transports.
► Rendez-vous ce samedi à 12h35 sur France 3 Paris Île-de-France, ou en replay sur France.tv/idf
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