NARRATIF – Trois ressortissants français sont arbitrairement détenus à Bakou, où la ministre française Agnès Pannier-Runacher, attendue à la COP29, a décidé de ne pas s’y rendre sur fond de tensions diplomatiques à leur plus fort.
« Ces deux semaines sont cruciales pour Théo. Nous allons faire tout ce que nous pouvons. Si ça se passe bien, c’est bon signe, sinon… ». Ces mots de Charlie Clerc ont été recueillis par Le Figaro au lendemain de l’ouverture de la COP29, lancée lundi en Azerbaïdjan. Son frère Théo Clerc est l’un des trois Français aux prises avec la justice azerbaïdjanaise, sur fond de tensions entre Paris et Bakou. Il a ainsi reçu avec amertume le rétropédalage de la ministre française de la Transition écologique Agnès Pannier-Runacher, qui a renoncé à se rendre au sommet sur le climat. Le discours prononcé la veille par le président azéri Ilham Aliyev n’a pas été adopté. L’autocrate a dénoncé l’histoire coloniale de la France et la « délits » de « Le régime du président Macron » dans ses territoires d’outre-mer.
La famille de Théo comptait sur le coup de projecteur de la COP29 pour accentuer la pression sur les autorités azéries en faveur du détenu. Cet artiste de 38 ans a été arrêté…
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