Après quatre déplacements et le forfait de Cénac lors du premier match programmé à Monpazier, le Stade jouera enfin à domicile, dimanche 17 novembre. Contre Villefranche-du-Périgord, un voisin qui lui ressemble.
Les deux clubs sont sortis de leur sommeil la saison dernière et réalisent plutôt un bon début d’année (respectivement 5ème et 2ème). D’ici là, l’équipe entraînée par Jérôme Delanis pour les trois-quarts et Mike Costanzo pour les avants affiche un bilan de deux victoires, un nul et deux défaites. «Ça se passe plutôt bien. Nous avons réussi à recruter à l’intersaison en ciblant certains postes », explique le premier cité. Qui pense très vite au prochain rendez-vous. « C’est une rencontre qui va compter. Outre le fait qu’il s’agit d’un derby, il faut d’abord faire un bon match pour rentrer à domicile. Cela sera également important pour le classement. »
Six réceptions d’affilée
Ce sera un test face à un USV toujours invaincu. “C’est une équipe qui a des éléments d’expérience et qui sera difficile à battre, nous en sommes bien conscients”, ajoute Delanis.
Les Monpaziérois ont quand même su reprendre confiance depuis le début du championnat, à l’image du dernier déplacement chez le leader, Beaulieu, qui s’est soldé par un revers (36-25). « On peut quand même avoir quelques regrets sur cette première partie de championnat, car je pense qu’on avait les moyens de prendre quelques points supplémentaires, poursuit le coach.
Désormais, Monpazier enchaînera six réceptions avec l’idée de décrocher une place sur le podium, synonyme de qualification pour les huitièmes de finale régionales. « Nous resterons prudents mais c’est évident que nous nous sommes fixés des objectifs. L’année dernière, nous avons fait une bonne première partie de championnat avant de connaître une période plus compliquée faute d’effectif. On sait déjà que ce ne sera pas le cas cette saison car le groupe s’est renforcé grâce au bon travail de nos dirigeants. Il faut aussi garder à l’esprit que ce n’est pas parce qu’on va jouer beaucoup à domicile que la saison sera facile”, conclut Jérôme Delanis.
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