À Baie Sainte-Marie en Nouvelle-Écosse, Marcel Saulnier aimait tellement la linogravure qu’il l’enseigne maintenant à d’autres personnes.
C’est en rejoignant le Bay Arts Council de Clare qu’il découvre cette discipline artistique.
Vous commencez par dessiner sur un morceau de linoléum, puis vous commencerez à le découper. Vous pouvez faire des impressions avec
résume l’homme de 25 ans.
Couper au couteau demande du temps et de la précision. Marcel Saulnier aime cet exercice, et apprécie la possibilité de reproduire ensuite l’image autant de fois qu’on le souhaite.
Marcel Saulnier au travail.
Photo: Radio-Canada / Paul Légère
C’est bizarre, j’ai arrêté de dessiner parce que je n’avais pas assez de temps. J’aime le linoléum, même si cela prend deux fois plus de temps
commente-t-il.
Créer ensemble
Ce que je fais en linoléum est inspiré de la Baie Sainte-Marie. Par exemple, l’église Sainte-Marie, l’ancien moulin de Bangor. J’ai réalisé le phare, l’observatoire de l’Université Sainte-Anne. Ou les mouettes. Vraiment tout ce qu’on peut trouver dans le coin
il explique.
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Quelques linogravures réalisées par Marcel Saulnier.
Photo: Radio-Canada / Paul Légère
Maintenant, il partage la technique avec d’autres. J’ai même donné un cours de linogravure
dit Marcel Saulnier, où j’ai pu démontrer ce qu’était le linoléum à d’autres personnes
.
De nombreux étudiants ont adopté à leur tour ce moyen d’expression et fréquentent depuis l’atelier La Manivelle.
Tous les jeudis soir, nous créons ensemble, ici à La Manivelle. Les personnes qui ont participé à mon cours viennent désormais chaque semaine pour continuer à fabriquer du linoléum
dit-il.
According to the report by Paul Légère
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