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Chante-le. Portrait d’un Iron Man : Jean-François Flagel

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Éditorial Cantal

Publié le

3 novembre 2024 à 18h10

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La belle histoire du jour est celle de Jean-François Flagel. En 2017, où l’homme est déjà un sportif accompli. Il fait vélocourir et nager pour les loisirs. Quand ses amis lui demandent : « Tu te prépares pour un triathlon ? » . Ce à quoi il répond : « Un triathlon ? Oh non, c’est beaucoup trop dur pour moi » .

Son frère Pierre, alors récent finisseur de l’Ironman de Vichy lui un cadeau de Noël : une inscriptionpour le triathlon Lacanau M.

Un cadeau en or, le début d’une passion

Jean-François le réalise en moins de 3 heures. Le début d’une passion . Il prend les mesures progressivement passant du format M au format L, tombe et se relève. Il s’entraîne assidûment et relever les défis avec la discrétion qui le caractérise.

Quel prochain défi ?

Puis la question revient : « Quand est-ce que tu fais un Ironman ? » et toujours la même réponse : « Un Ironman, c’est beaucoup trop dur pour moi ». Aussi, l’accélération de son activité sportive sur Strava (le réseau social des sportifs) en ce mois d’août 2024 trahit qu’il a traverser le cap et a opté pour Saint-Cirq-Lapopie pour « son parcours assez roulant et accessible et pas très loin de la maison.

Jour de course

21 septembre 2024, 7 heures du matin, la nuit enveloppe les berges du Lot. Ils sont 70 sur la ligne de départet n’allez pas loin quand il est temps de vous jeter dans l’eau . Ici, c’est l’antithèse des Ironman de Nice et de Barcelone où le bike park contient plus de 2 000 appareils luisant. 1h20 de natation plus tard, place au vélo.

Le défi ? Arrivée à la fin des 3,8 km de natation, 180 km de vélo et 42 km de course à pied

180 km a priori roulant mais délicat avec son beaucoup de courtes montéesrendu plus compliqué par le vent. Prudent et grand métronome Jean François Flagel pose le vélo une moyenne de 25 km/h sans avoir trop puisé dans ses ressources et entame son marathonavec une certaine fraîcheur. Après 20 km passés en gestion, il a vu les coureurs autour de lui exploser alors qu’il entretenait une rythme régulier .

Des places gagnées qui font du bien au moral. Mais pas d’inquiétude, son frère Pierre Flagel est venu le soutenir et a témoigné : « Le plus dur reste à venir. Lorsque la lumière baisse et qu’il faut allumer la lampe frontale, c’est là que l’esprit entre en jeu. » Les kilomètres défilent, le rythme diminue lentement. Jean-François n’explose pas, la ligne d’arrivée approche. Une fois, il traverse (en24position), il est temps de savourer et d’apprécier.

Nicolas Joubert

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