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Décryptage Bien que moins violente qu’ailleurs, la crise n’épargne pas la métropole languedocienne. Les petites surfaces résistent tandis que les nouveaux biens peinent à trouver preneur.
Le directeur du groupe Bazille, Jérôme Menardo, l’assure : « Le marché a été actif, même pendant la crise. L’activité a été assez fortement redynamisée au cours des cinq derniers mois grâce à la baisse des taux. » Axel Renault, directeur de l’agence montpelliéraine des Espaces atypiques, est sur la même longueur d’onde : « Montpellier a plutôt bien résisté à la baisse des marchés l’année dernière. La situation s’est stabilisée au premier trimestre, avec la fin de la tendance baissière. Nous avons encore des demandes, même si elles sont en baisse depuis mi-2023. »
Cette baisse du nombre de transactions, estimée à -20% par la Fnaim départementale, touche davantage les biens d’entrée et de milieu de gamme. Encore, « le marché revient à la normale », indicates Grégori Choquet, secretary general of Fnaim de l’Hérault and manager of the Orpi Proximmo agency in Port-Marianne.
Les acheteurs ont pris le contrôle, au grand désarroi des vendeurs qui ont longtemps imposé leurs prix. Aujourd’hui, le temps moyen de transaction…
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