En cette Journée mondiale de la douleur, nous faisons le point sur la prise en charge de la douleur chronique. Si cela a progressé ces dernières années, il reste encore beaucoup à faire, estime l’Iséroise Audrey Aronica, vice-présidente de l’association francophone pour vaincre la douleur.
“Cela dépend de qui vous rencontrez« … Si la douleur chronique est aujourd’hui mieux prise en compte, leur traitement et leurs soins sont encore trop incertains. “De nombreuses techniques ont évolué, notamment dans les centres anti-douleur, mais malheureusement trop peu de patients y ont accès car ils ne sont pas acceptés dans les centres, il y a trop peu de places.», estime Audrey Aronica, vice-présidente de l’association francophone pour vaincre la douleur. Elle est également patiente experte au CHU Grenoble Alpes, qui organise ce jeudi une journée de sensibilisation à la douleur.
“A Grenoble, il faut en moyenne un an minimum pour obtenir une place dans un centre antidouleur.», déplore Audrey Aronica. “Car il y a de moins en moins d’algologues, médecins spécialisés dans la douleur. Ce n’est pas encore une spécialité reconnue, et trop peu de médecins s’y tournent« .
Related News :