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nine authors gathered in Toulouse for the Prix Goncourt des Lycéens

l’essentiel
L’Académie Goncourt, la Fnac et l’Éducation nationale ont réuni 167 étudiants des régions Occitanie et Nouvelle-Aquitaine, et 9 des 14 auteurs en lice pour le Prix Goncourt des Lycéens, ce lundi à l’Hôtel de Région de Toulouse.

Comme c’est désormais l’usage, la rentrée littéraire s’accompagne du Prix Goncourt des Lycéens, un label prisé des auteurs mais aussi des lycéens invités dans six villes de France à la rencontre des écrivains. Parmi eux et pour la première date des six dédiées à ces échanges, Toulouse a reçu ce lundi 167 étudiants issus de six établissements situés en régions Occitanie et Nouvelle-Aquitaine sur les 53 sélectionnés.

Venant de Saint-Jean-de-Luz (lycée Maurice Ravel), de Saint-Paul-les-Dax (lycée Haroun Tazieff), de Limoges (lycée Gay Lussac), d’Andorre (lycée Comte de Foix), de Monteils (Claude Lycée Nougaro) et Tarbes (lycée Théophile Gautier), chacun a pu poser ses questions aux auteurs. Au cours de trois tables rondes, les lycéens ont pu découvrir le parcours des auteurs, leur manière d’écrire, leur inspiration et mieux comprendre les contours de leur vocation.

Échanges et réactivité

Olivier Norek, l’un des candidats en compétition avec « The Winter Warriors » confiait peu avant la rencontre : « Je sais qu’avec les enfants, ça ne vaut pas la peine d’essayer de leur parler quand ils sont jeunes, ça ne sert à rien de se sentir comme si on était un enfant. faire comme « on est jeune », inutile de les caresser dans le sens du poil. Ce sont des petits hommes et femmes de 17 ans, qui sont déjà habitués. ne pas céder et qui me brûlera à des millions de kilomètres si je ne joue pas loyalement.

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« J’écris forcément avec le cœur… » Olivier Norek à propos de son livre « Winter Warriors »

Et de poursuivre : « Si j’ai une chance quelque part, c’est justement grâce à la rencontre, à l’honnêteté, à la générosité d’un instant très court, mais à un instant pendant lequel je dirai « je n’écris pas sur commande ». , je n’écris pas autour de mon nombril pour raconter mes histoires d’amour à l’Île de Ré. Je veux vous dire cela parce qu’il y a du sens, parce qu’il y a quelque chose de plus fort et qui me dépasse, moi et ma plume. C’est avant tout ce que je souhaite échanger avec eux.»

L’exercice s’est répété avec bonheur et la salle a été réactive lors des trois temps d’échange avec Maylis de Kerangal (« Jour de resac »), Rebecca Lighieri (« Le Club des enfants perdus »), Ruben Barrouk (« Club des enfants perdus »). Tout le bruit de Guéliz »), Sandrine Collette (« Madeleine avant l’aube ») dès 11h

En début d’après-midi, Hélène Gaudy (« Archipels »), Olivier Norek (« Winter Warriors »), Étienne Kern (« La vie Meilleur »), Thibault de Montaigu (« Heart ») et Jean-Noël Orengo (« You sont l’amour malheureux des Fürher”) ont participé au jeu de questions-réponses avec joie et un peu d’anxiété. Aux étudiants de voter dès maintenant pour décerner, après celui décerné l’an dernier à Neige Sinno pour « Triste Tigre », le 37e Prix Goncourt des Lycéens… Verdict le 28 novembre.

 
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