Par Louise Martin | Éditeur
Koh Lanta, Les Marseillais mais aussi Mariés aux premiers regards… Louise Martin est une télévore qui tente, à ses heures perdues, de refaire les gâteaux qu’elle admire devant le Meilleur Pâtissier… mais elle ne risque pas de remporter le tablier bleu ! Les réseaux sociaux n’ont plus de secrets pour elle, les derniers scoops, les dernières émissions, elle les connaît tous. Elle scrute la vie de vos stars préférées et admire un peu trop les tenues de Nicky Doll dans Drag Race France. Petit plaisir du cou
Depuis la disparition du garçonnet de deux ans dans un hameau des Alpes-de-Haute-Provence en juillet 2023, le mystère de sa mort reste entier. De nouvelles analyses du laboratoire scientifique ont été publiées il y a quelques jours et pourraient faire avancer significativement le dossier.
Affaire du petit Emile (2 ans) : l’avocat des grands-parents fait une révélation sur les prélèvements ADN
Le 8 juillet 2023, le petit Emile, deux ans et demi, disparaît dans le Haut-Vernet. Pendant plusieurs mois, l’enquête semble au point mort. Jusqu’à ce fameux jour de mars 2024. Une marcheuse de 62 ans, Sadia, découvre des ossements sur un sentier du Vernet. “Je vois la petite boule, le crâne, tout blanc. Et c’est centré, en plein milieu. Je me suis dit : ‘Oh, c’est le petit Émile‘”, raconte-t-elle Infos France ce vendredi 27 septembre. Elle emporte le crâne avec elle, l’enveloppe dans un petit sac pour ne pas laisser ses empreintes dessus, et le dépose immédiatement au commissariat. Les analyses des enquêteurs le confirment : le morceau d’os appartient bien à l’enfant disparu. Une découverte qui a relancé l’enquête.
En août dernier, des « progrès importants » ont été réalisésselon les informations d’une Source proche de l’enquête, rapportées par Paris-Match. Des analyses complémentaires ont été réalisées sur les os et les vêtements du petit garçon et le rapport a été rendu public la semaine dernière selon Provence. Cependant, ces résultats restent pour le moment strictement confidentiels. Selon les sources de nos confrères, «le dossier pourrait faire un virage à 180 degrés« . Les scientifiques pourraient notamment déterminer si le corps a été déplacé après le décès ou pas et j’ai essayé de déterminer si l’ADN était présent afin de définir si la théorie pénale est bien la bonne.
Si l’ADN est trouvé et qu’il ne correspond pas à celui de la famille, il sera très difficile de retrouver l’individu.
Suite à ces déclarations du laboratoire, les hypothèses vont bon train. Si l’ADN retrouvé sur les ossements par le laboratoire privé d’hématologie médico-légale de Bordeaux ne correspond pas à celui de la famille, il faudra le comparer à celui des habitants du hameau du Haut-Vernet. Notamment aux personnes présentes le jour de la disparition d’Emile.
Mais cela risque d’être compliqué, comme le soulève Maître Isabelle Colombani, l’avocate des grands-parents d’Emile, dans Provence : “Le problème c’est que nous n’avons malheureusement jamais prélevé l’ADN de tous les habitants du Vernet et du Haut-Vernet.“ Ainsi, si l’ADN ne correspond à aucun de ceux en possession de la police, il sera difficile de retrouver l’identité de l’individu en question. “À moins qu’il n’appartienne à une personne enregistrée», explique l’avocat.
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