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condamné pour la quatrième fois pour violences conjugales, il retourne en prison

jeIl parle d’addiction à l’alcool, les juges parlent de violences faites aux femmes. Dans la nuit du mardi 9 avril au mercredi 10 avril, un Périgord de 41 ans s’est rendu dans un restaurant à Cénac-et-Saint-Julien (Dordogne), avec sa compagne et leur fille de 8 ans…

jeIl parle d’addiction à l’alcool, les juges parlent de violences faites aux femmes. Dans la nuit du mardi 9 avril au mercredi 10 avril, un Périgord de 41 ans s’est rendu dans un restaurant à Cénac-et-Saint-Julien (Dordogne), avec sa compagne et leur fille de 8 ans et un ami. . Les boissons s’enchaînent et l’homme commence à insulter le personnel, les clients et sa compagne à cause, dans un premier temps, « d’un steak tartare qui était un hamburger steak ».

Lorsqu’ils rentrent chez eux, les choses empirent. “Vous êtes rentré chez vous, vous avez tout cassé dans le salon, jeté de la vaisselle et vous vous êtes couché à côté du panier du chien”, a rappelé, lundi 15 avril, le président du tribunal de Bergerac où comparaissait le quadragénaire. Ce soir-là, le prévenu a ensuite rejoint sa compagne dans leur chambre et lui a donné deux coups de poing au visage et dans le dos à travers la couette.

“Je ne voulais pas la toucher, c’est comme taper du poing sur la table pour calmer le jeu”

“Je ne voulais pas la toucher, c’est comme taper du poing sur la table pour calmer le jeu”, s’est défendu l’accusé à la barre. L’homme est un habitué des tribunaux. Depuis 2018, il a déjà été condamné à trois reprises pour violences conjugales. Gardiens d’un château du Périgord Noir, où ils résident, le Périgord et sa compagne sont en couple depuis dix ans.

« Les erreurs sont 50/50 »

Cette dernière, qui regrette d’avoir appelé la police le soir des faits, a défendu coûte que coûte son compagnon lors de l’audience. « Dans une relation, les erreurs sont 50/50. J’aurais peut-être dû appeler pour prendre rendez-vous pour un traitement. »

Retrait de l’autorité parentale

Le procureur de la République Gaël Bellet a pour sa part dépeint le prévenu comme un homme qui « se moque royalement de la justice et se montre indigne de sa confiance ». Les juges ont condamné Nuno Alexandre à dix-huit mois de prison et à une révocation partielle du sursis probatoire hérité d’une condamnation antérieure.

L’homme n’a plus le droit de contacter sa victime pendant trois ans, et l’exercice de son autorité parentale lui a été retiré. Le soir des faits, sa fille a dû demander à son père alcoolique de ne pas prendre le volant.

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