Meurtres à Bayeux sera diffusé ce samedi 24 février à 21h10 sur France 3. Le nouveau téléfilm policier rassemble notamment Idir Chender (Vincent Clerc), Sarah Mortensen (Clara Leprince) – actuellement en tournage la saison 5 deAstrid et Raphaëlle – Eglantine Emeyé (Anne Leprince), ou encore Camille Claris (Mathilde). Cette fiction, tournée dans cette ville du Calvados mais aussi dans ses environs, met en place un mystère à résoudre autour de la Tapisserie de Bayeux.
Meurtres à Bayeux : de quoi parle le téléfilm avec Sara Mortensen ?
Dans Meurtres à Bayeux, Clara Leprince, gendarme à Caen, est dépêchée à Bayeux pour enquêter sur le meurtre de John Dewish, un seigneur anglais vivant en France depuis des années. Les restes de ce dernier ont été découverts avec une flèche plantée dans l’œil. Clara devra travailler sur ce dossier avec Vincent Clerc, un officier de police judiciaire local. L’exposition macabre du corps de Jean évoque le meurtre d’Harold Godwinson, le rival anglais de Guillaume le Conquérant. Les enquêteurs rechercheront notamment des indices liés à la Tapisserie de Bayeux, exposée au musée de la ville. Par ailleurs, Clara se retrouve nez à nez avec sa sœur Mathilde, dentellière à Bayeux, avec qui elle n’a plus eu de contact depuis dix ans.
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Meurtres à Bayeux : Sara Mortensen était-elle vraiment enceinte sur le tournage ?
Dans Meurtres à Bayeux, le personnage de Clara Leprince apparaît enceinte de plusieurs mois. Au début de la fiction, elle tente de trouver un rendez-vous pour passer une échographie et connaître le sexe de son enfant. Mais l’actrice Sara Mortensen était-elle vraiment enceinte au moment du tournage du téléfilm ? Certainement pas. L’actrice – mère d’un fils né en 2009 – a porté un faux ventre tout au long du tournage. “J’ai moi-même été enceinte, donc j’étais encore assez préparée à cela. J’ai l’impression que mon corps s’est dit assez vite qu’il était enceinte, donc j’avais des contractions en fin de journée ! Mais c’était sympa», nous a confié l’actrice. Et ajouté: “Il fallait juste faire attention, ne pas en faire trop ou pas assez, se rappeler comment on s’assoit, comment on se lève, comment on bouge, comment on respire aussi. Parce qu’on ne respire pas pareil quand on est squatté intra-muros !“
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