manœuvres douteuses d’anciens « criminels » pour accabler le Maroc

manœuvres douteuses d’anciens « criminels » pour accabler le Maroc
manœuvres douteuses d’anciens « criminels » pour accabler le Maroc

« La grâce royale se distingue par son caractère humain et a été accueillie avec une profonde gratitude par les familles des graciés »a cru Hicham Mellati, directeur des affaires criminelles au ministère de la Justice. Et les graciés ? anciennement impliqué dans des affaires pénales graves; ils se sont aujourd’hui constitués parties civiles devant les tribunaux belges, estimant que « Des allégations d’ingérence et de corruption au sein du Parlement européen ont entravé la condamnation du Maroc pour ses violations présumées des droits humains. » Fin de citation. Parmi ceux-ci « criminels » Parmi eux, Omar Radi, condamné en 2022 pour atteinte à la sûreté de l’État et viol, ainsi que Soulaiman Raissouni, gracié après une condamnation judiciaire en 2022 pour des accusations de viol et d’enlèvement.

Un groupe aux trajectoires judiciaires et politiques controversées

Ces individus sont représentés par les avocats Mohamed Jaite et Delphine Paci, qui ont déposé les constitutions de partie civile devant la chambre d’accusation de Bruxelles. Et les vrais faits ? Le Maroc a fermement rejeté toute implication dans les scandales de corruption au Parlement européen, notamment le « Qataragate ». Aucune preuve n’a été fournie permettant d’établir un lien entre ces scandales et Rabat. Les autorités marocaines rappellent que leur politique est fondée sur la transparence et le respect des droits de l’homme.

Disons-le clairement : les critiques formulées par ce groupe sont avant tout motivées par des intérêts politiques et personnels. L’enquête belge ouverte en 2022 se concentre sur « des soupçons d’ingérence et de corruption au sein du Parlement européen ». Les avocats des parties civiles ont demandé que les débats devant la chambre d’accusation, prévus le 7 janvier, soient rendus publics, même si ces débats se déroulent habituellement à huis clos.

déjà vu

En mars 2023, une coalition de militants autoproclamés a annoncé son intention de se joindre à l’action en justice contre la société israélienne NSO, propriétaire du logiciel Pegasus. Parmi eux figurent Fouad Abdelmoumni, Abdellatif El Hamamouchi et Hicham Mansouri ainsi que Khouloud Mokhtari, épouse de Soulaiman Raïssouni, Ali Reda Ziane, fils de Mohamed Ziane et Omar Brouksy.

Un mot, au moins, sur la résolution à distance du Parlement européen de 2023 sur la liberté de la presse au Maroc ? Ce texte, en revanche, était un scandale absolu, au point que Paris a indiqué qu’il “n’engage pas la selon son ambassadeur au Maroc. “Le gouvernement français ne peut être tenu responsable des députés européens», insisted Christophe Lecourtier.

Le document – ​​non contraignant et qui a été poussé par des éléments ouvertement hostiles au Maroc – faisait également état de l’implication, jamais démontrée, de Rabat dans l’affaire de corruption qui secoue le Parlement européen. Fouad Abdelmoumni, l’un des éléments cités dans les deux tentatives anti-marocaines devant les juridictions étrangères, fait actuellement l’objet d’une enquête pour « diffuser de fausses informations » lié à une publication dans laquelle il critique le« implication de Maroc dans l’espionnage de la France ». Fouad Abdelmoumni, 66 ans, dont la réputation a été ternie par des frasques sexuelles et économiques, est soupçonné d’avoir “a signalé un crime notoirement fictif dont il sait qu’il n’existe pas” et avoir “diffusé beaucoup de fausses informations”a indiqué le procureur de la République, cité par l’agence marocaine MAP. Son procès reprendra le 30 décembre.

 
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