cet atelier fabrique des mascottes et des peluches du PSG

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La société Doudou et Compagnie, qui possède une usine de fabrication peluches a La Guerche-de-Bretagne (Ille-et-Vilaine), s’est offert une très grosse affaire en signant un contrat avec PSG.

Après avoir été chargé par le comité d’organisation des Jeux Olympiques de Paris de contribuer à la fabrication du Phrygès, la mascotte des Jeux Olympiques, l’atelier breton a été choisi pour produire celui du club qatari, Germain le lynx, ainsi qu’une gamme d’ours en peluche.

Une partie a été conçue dans l’usine bretonne, en soutien à celles d’Asie de la firme, dont le siège est situé dans le Val-d’Oise.

Le « savoir-faire français » de Doudou et Compagnie

« Le PSG souhaitait avoir un partenaire français, et surtout un des qualité supérieure. Nous avons pas mal de demandes de marques, sportives ou non, qui apprécient cet aspect culture française, Un savoir-faire français très ancré dans le groupe», se félicite son président Alain Joly, qui rappelle que l’entreprise réalise également les mascottes de la quinzaine de Roland-Garros depuis plus de vingt ans.

« C’est le club qui nous a contacté. Il avait un partenaire étranger mais qui ne lui convenait pas en termes de qualité. Il voulait un savoir-faire français et un critère de qualité, au même titre que l’organisation des Jeux Olympiques avec Phrygé », explique Alain Joly.

Doudou et Compagnie products on the Champs-Élysées

Concrètement, Doudou et Compagnie dispose d’une licence « depuis plusieurs années » lui donnant le droit de fabriquer des produits officiels du Paris Saint-Germain. La production, notamment la partie prévue à La Guerche-de-Bretagne, a déjà été réalisée. La commercialisation est prévue le 1er janvier 2025.

« Les peluches seront vendues sur les Champs-Élysées et dans tous les magasins officiels mais aussi à l’étranger, puisque le PSG possède des magasins à New York et en Asie par exemple. Il existe également pas mal de revendeurs de produits PSG dans les aéroports et les gares», se réjouit Alain Joly.

C’est donc un nouveau coup de projecteur international pour l’atelier breton.

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