Publié le 5 décembre 2024 à 18h40 / Modifié le 5 décembre 2024 à 20h23
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Ce n’est pas la première fois que les parlementaires débattent de la taxe COV. Les composés organiques volatils – substances qui entrent dans la composition des carburants, détergents, solvants, désinfectants, détachants, cosmétiques, peintures et colles – sont soumis à une taxe depuis l’an 2000. Les élus de l’UDC l’ont déjà tenté à deux reprises, en 2012. et en 2015, de l’abolir, sans succès jusqu’à présent. La troisième tentative est donc la bonne : les sénateurs, comme les conseillers nationaux en début de semaine, ont accepté de le supprimer, mais pas tout de suite. Avant son abrogation définitive, le Conseil fédéral doit encore préparer un rapport pour évaluer son efficacité.
Avec la suppression de cette taxe, l’industrie pourra économiser « 130 millions de francs par an », selon l’ancien conseiller national Walter Wobmann (UDC/SO). Une somme que la Confédération ne manquera pas puisque cette manne est «équitablement redistribuée à la population via l’assurance maladie», explique l’OFEV.
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