Le TAP accorde la libération conditionnelle au dernier détenu dans l’affaire de la policière de Kitty – .

Le TAP accorde la libération conditionnelle au dernier détenu dans l’affaire de la policière de Kitty – .
Le TAP accorde la libération conditionnelle au dernier détenu dans l’affaire de la policière de Kitty – .

Le tribunal d’application des peines a décidé d’accorder une libération conditionnelle à Galip K., le dernier gangster détenu dans l’affaire de la policière Kitty, qui s’est déroulée en décembre 2007 en Belgique et a eu des répercussions internationales.

Dans la nuit du 3 au 4 décembre 2007, trois individus ont fait irruption au domicile de la famille Sacoor, à Lot, dans le but de voler le véhicule familial. Lors de leur effraction, ils ont tiré à plusieurs reprises sur le père de famille – Ismaïl, alors âgé de 52 ans et ceinture noire de karaté – avant de prendre la fuite. Peu après, ils ont tiré à plusieurs reprises sur deux policiers qui patrouillaient à Beersel, blessant grièvement l’un d’eux et tuant l’autre, Kitty Van Nieuwenhuisen, une jeune policière de 23 ans récemment diplômée.

Les auteurs, identifiés plus tard comme Nourredine C., Hassan I. et Galip K., ont été reconnus coupables et condamnés à 30 ans de prison en avril 2011. Lors du procès, Galip K., défendu par l’avocat pénaliste Olivier Martins, a continué de clamer son innocence, de nier les faits et d’accuser les enquêteurs d’avoir « ruiné sa vie ». Condamné à 30 ans, le dernier à purger sa peine a été libéré au bout de douze ans.

 
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