La SPCA du Nouveau-Brunswick lance une aide pour les propriétaires d’animaux de compagnie à faible revenu – .

La Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA) du Nouveau-Brunswick lance un nouveau programme d’aide pour les propriétaires d’animaux de compagnie moins fortunés.

Le fond Queues heureuses vise à améliorer l’accès aux soins ou aux opérations vétérinaires de base.

Selon le directeur général de la SPCA du Nouveau-Brunswick, Lesley Rogersla pandémie et l’inflation ont exercé une pression financière sur les propriétaires.

Quatre cliniques offrent actuellement des soins dans le cadre de ce programme. Il s’agit de : Services vétérinaires de Stoneybrook et la clinique sans rendez-vous Saint-Jean, la clinique d’urgence de Monctonet la clinique vétérinaire de Woodstock.

Dr Sara Pridham, de la clinique Services vétérinaires de Stoneybrooknote qu’elle reçoit des appels tous les jours, notamment concernant le programme de stérilisation à faible coût.

Cela fait maintenant 10 ans que nous sommes ouverts et nous constatons un besoin croissant de contrôle de la population. Par exemple, il y a tellement de chats et si peu de foyers”,”text”:”Nous sommes ouverts ici depuis environ 10 ans et nous constatons un besoin croissant de contrôle de la population. Par exemple, il y a tellement de chats et si peu de foyers”}}”>Nous sommes ouverts ici depuis environ 10 ans et nous avons constaté un besoin croissant de contrôle de la population. Par exemple, il y a tellement de chats et si peu de foyers.elle note.

Animaux refusés faute de place

Parce que les refuges de la province débordent, notamment de félins.

Depuis que nous travaillons ici, c’est la première fois que nous sommes sur le point de fermer nos portes”,,”text”:”En 17 ans de travail ici, c’est la première fois que nous sommes sur le point de fermer nos portes”}}”>En 17 ans de travail ici, c’est la première fois que nous sommes sur le point de fermer nos portes.déclare la directrice générale de la SPCA de Miramichi, Jennifer Arseneault.

« C’est dur, vous savez, mentalement, c’est épuisant d’essayer de joindre les deux bouts chaque mois et de savoir que vous devez refuser des animaux », ajoute-t-elle.

Cette situation a également conduit les vétérinaires à quitter la profession en masse selon le Dr Sara Pridham.

Nous devons refuser des patients presque tous les jours. Cinq à dix personnes par jour. C’est tout simplement parce que les besoins sont énormes et que les soins sont devenus beaucoup plus coûteux au fil des ans.dit-elle.

Les gens se mettent en colère parce qu’ils n’ont pas les moyens de payer les soins de leurs animaux. Malheureusement, c’est souvent le vétérinaire qui est blâmé. Et nous ne pouvons pas faire grand-chose pour payer nos factures. conclut le vétérinaire.

Avec des informations de Savannah Awde et de Shift de CBC