ces vetos et ces calculs politiques qui parasitent les négociations

ces vetos et ces calculs politiques qui parasitent les négociations
ces vetos et ces calculs politiques qui parasitent les négociations

Dans un contexte arithmétique compliqué, les négociateurs bruxellois n’ont pas eu la tâche facile depuis six mois pour trouver une majorité. Cependant, les vetos, les ambitions personnelles et les calculs politiques alimentent la crise.


Article réservé aux abonnés

LLes négociations pour former le futur exécutif bruxellois ne sont pas totalement au point mort. Les trois partenaires francophones de la future coalition, que sont le MR, le PS et Les Engagés, finalisent les discussions liées à la Cocof. Cet organisme, qui reste mystérieux aux yeux du grand public, régule une série de questions liées aux francophones de la capitale. La formatrice néerlandophone et ministre sortante de la Mobilité Elke Van den Brandt (Groen) explore actuellement la possibilité d’un quadripartite composé du Vooruit, de l’Open VLD et de la N-VA. Ces quatre équipes ont convenu de se retrouver ce jeudi. Près de six mois après les élections régionales, les acteurs politiques cherchent toujours la composition de la future majorité. Conclure avec certitude sur un épilogue imminent pour cette interminable saga que sont les négociations de Bruxelles reste cependant prématuré au vu des nombreux épisodes observés depuis juin.

Accédez aux informations nationales et internationales vérifiées et décryptées
1€/semaine pendant 4 semaines (sans engagement)

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV le ministre de l’Industrie, Marc Ferracci, bientôt en visite chez Bosch ?
NEXT Arras soutient Paul Watson, détenu au Groenland