Samedi 26 octobre, lors du 32e de finale de coupe de l’Aveyron Espalion – Foot Vallon, une erreur de l’arbitre – et reconnue par lui – a provoqué une protestation des visiteurs et ont finalement été battus, 3-3, 9-8 tab.
Nous avons ensuite détaillé ici les circonstances d’un imbroglio générant une certaine tension. Vallon ayant terminé le match numériquement inférieur, Espalion n’aurait dû présenter que 10 shooteurs et non 11 lors des tirs au but, ce que l’arbitre n’a pas fait respecter ce jour-là.
Il appartenait donc à la commission départementale d’arbitrage de donner suite à la réserve émise et soutenue par Foot Vallon, pour faute technique de l’arbitre. Et son président Benoît Routhe a notifié par procès-verbal du 31 octobre « l’irrecevabilité » de la demande du Marcillacois, entérinant également la qualification d’Espalion pour les huitièmes de finale, dont le tirage au sort aura également lieu ce jeudi au stade Paul-Lignon. . Une décision motivée par un mauvais timing de l’installation de la réserve ce soir-là.
“L’innocent devient coupable”
Apparaissant en tout cas comme suit au procès-verbal : « Le but des réserves techniques est d’indiquer à l’arbitre qu’il a mal appliqué les lois du jeu et dans ce contexte qu’il peut revenir sur sa décision, pour autant que le jeu ne se soit pas déroulé comme prévu. CV. La Commission considère que le club plaignant pouvait formuler des réserves soit avant le début de la séance, soit au plus tard après que le dernier joueur du club d’Espalion ait tiré au but. Il n’est pas contesté que les réserves ont été déposées par le capitaine du Foot Vallon après que le joueur n°6 de son équipe a exécuté son tir au but à la suite du onzième joueur d’Espalion, de sorte qu’il n’était plus possible à l’arbitre d’inverser son tir. décision.”
De quoi mettre Foot Vallon et son président Marc Richard « un peu en colère ». “L’innocent devient coupable”, appuie le dirigeant. Lui et son club, qui doivent également s’acquitter des frais de 30 € pour avoir effectué une réservation, ne sont pas d’accord avec la lecture faite par la commission. En tout cas, ils nous ont confirmé leur volonté de porter l’affaire devant la Commission Départementale de Recours dans le délai légal de sept jours.