ÉVÉNEMENT. Le bar associatif « Au Petit Paris » a fêté Halloween en grande pompe mercredi 30 octobre. Les festivités se sont déroulées en deux temps et ont débuté dans l’après-midi.
Le bar communautaire a organisé des activités pour les enfants en partenariat avec deux autres structures : le club Léo Lagrange et Ensemble pour jeux. Une quarantaine d’enfants, la plupart vêtus de costumes effrayants et accompagnés de leurs parents, y ont participé.
Des activités manuelles et un atelier maquillage ont été animés par des bénévoles du Petit-Paris, la fabrication de citrouilles en papier et le jeu du chamboule-tout par le club Léo Lagrange, et des jeux en bois par Ensemble pour Jouer. Les enfants ont également regardé des dessins animés sur le thème d’Halloween. A 16h30, les enfants déguisés ont défilé dans le quartier de la Noue en compagnie de « Jacqueline la Citrouille » et ont distribué des bonbons aux habitants. Le chaudron était plein. Le cortège était encadré par la police municipale et l’ensemble des bénévoles.
« Nous remercions Petit Paris pour son accueil et l’organisation des activités. C’est la première fois que nous célébrons Halloween ensemble. Nous sommes très satisfaits de voir les tribunes bien remplies avec autant d’enfants”, a commenté Valérie Muschiato, directrice du club Léo Lagrange. « Cela a attiré beaucoup de monde et le public habitué à Léo Lagrange. Il va falloir faire des actions communes avec Léo-Lagrange pour un public familial», se réjouit Josselin Thomas, coordinateur culturel du Petit-Paris.
Cet événement était organisé dans le cadre des Pass Quartiers, soutenus par la ville, la préfecture et l’OPH. La fête d’Halloween s’est poursuivie en soirée avec la musique du quatuor « franco-zombie » Tacteur Twist, groupe de surf music et de rock instrumental venu d’outre-tombe. Déjanté et drôle, le groupe musical a transporté le public dans l’univers d’Halloween et la visite d’une maison hantée de la fête foraine. Leur musique envoûtante agissait comme un sortilège démoniaque incitant à la danse.
De notre correspondant Pierre-Olivier Legrand