A Perpignan, le RN dévoile 35 noms de sa liste et réclame qu’une « sanction électorale cinglante » soit imposée à Macron
L’un des rendez-vous phares de la campagne européenne du Rassemblement national s’est déroulé ce mercredi 1er mai à Perpignan.
Plusieurs « prix de guerre », comme l’essayiste Malika Sorel, ancienne proche de François Fillon, propulsé en deuxième position de la liste, Fabrice Leggeri, ancien patron de Frontex, ou encore Pierre Pimpie énarque et directeur général adjoint de l’établissement public de sécurité ferroviaire. Les noms avaient déjà été révélés ces dernières semaines, et aucun autre rassemblement majeur n’a été révélé.
Après Perpignan, d’ici le 9 juin, le parti d’extrême droite compte investir ses fiefs pour mobiliser son électorat, avec des meetings prévus en Moselle, dans le Var et dans le fief de Marine Le Pen, Hénin-Beaumont (Pas). -de-Calais).
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