Après sa dernière sortie médiatique sensationnelle, nous avons la confirmation – et définitivement cette fois – que l’un des meilleurs joueurs du monde n’a pas réellement les qualités requises pour porter le brassard.
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Chef adjoint de la division des sports et chef de l'unité de football
Par Frédéric Larsimont Publié le 10/09/2024 à 18h44
Temps de lecture : 3 min
jek stop ermee. » « J'arrête ! » Pas besoin d'un juriste expert en lecture labiale : même sans le son, la teneur des propos tenus par Kevin De Bruyne, en marge du match à Lyon, au directeur technique national Franky Vercauteren, est sans équivoque.
Depuis lundi soir un peu avant 23h, le football belge vit avec la crainte d'un passage à l'acte après une menace, et de l'éventuel post de confirmation sur les réseaux sociaux, déclenchant le générique de fin d'une carrière internationale qui aura duré 14 ans et compté 107 sélections et 30 buts.
Car, même si la distinction est subtile dans les esprits embrumés par le patriotisme footballistique, il convient de dissocier le joueur de l’homme. Et, contrairement à ce que font trop souvent les médias, surtout de ne pas pardonner au second sous prétexte de la classe et des services rendus par le premier.
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