L’immobilier résidentiel en Belgique, entre résilience et défis

L’immobilier résidentiel en Belgique, entre résilience et défis
L’immobilier résidentiel en Belgique, entre résilience et défis

L’immobilier résidentiel occupe une place importante pour les Belges, car il est au cœur de la vie quotidienne et économique. Evolutions, résilience, accessibilité : à l’occasion du salon Realty, nous avons sondé plusieurs acteurs sur les principales particularités et les défis majeurs du marché.


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Par Marie-Eve Rebts

Publié le 18/09/2024 à 17h24
Temps de lecture : 4 min

CMardi et mercredi, le salon immobilier Realty a réuni plus de 2.000 visiteurs à la Gare Maritime de Bruxelles, parmi lesquels des décideurs politiques, des investisseurs, des universitaires et de nombreux professionnels de l’immobilier belges et étrangers. Ce petit groupe a pu échanger sur les enjeux du secteur lors de moments de partage mise en réseaumais aussi lors de pas moins de 25 conférences.

Trois thèmes étaient au cœur de cette année : l’avenir des villes, le « S » de l’ESG (c’est-à-dire le critère social) et la résilience de l’immobilier en 2024-2025. C’est sur ce dernier aspect ainsi que sur les spécificités et les enjeux du marché belge que L’immobilier du soir s’est entretenu avec trois intervenants du secteur Realty : Stéphan Sonneville, PDG de la société de promotion Atenor et président de l’Upsi (Syndicat Professionnel du Secteur Immobilier), Jonathan Frisch, économiste spécialisé en immobilier chez Immoweb, et Cédric Van Meerbeeck, Head of Real Estate Insights & Valuations chez Deloitte.



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