la Ville demande de ne pas jeter de gravier dans la rue

Cette année, la Ville de Québec demande l’aide des citoyens et leur demande de ne pas jeter dans la rue les pierres abrasives accumulées sur les terrains résidentiels.

Cela crée parfois un encombrement qui complique les opérations et peut aussi être dangereux pour les cyclistes, a déclaré François Moisan, directeur des relations publiques à la Ville de Québec.

Le public est invité à apporter les petites pierres à l’écocentre ou à les réutiliser comme abrasif la saison suivante.

La collaboration des citoyens est également demandée afin de ne pas stationner les véhicules dans des zones plus densément peuplées et de faciliter le passage des camions arrosoirs et des balais mécaniques.

Une carte interactive (Nouvelle fenetre) est mis à la disposition du public pour connaître le calendrier des travaux de nettoyage, qui débutent par les artères principales, les rues commerciales et les rues dotées de pistes cyclables.

Selon la Ville, environ 63 véhicules dont 19 arrosoirs et 130 personnes sont déployés tout au long du nettoyage qui se poursuivra jusqu’à la fin juin.

Pour commencer le marquage, trois conditions sont nécessaires, rappelle M. Moisan : rues nettoyées, nuits à plus de 10°C et temps sec.

Nids-de-poule, rinçage des conduites d’eau et vérification des bouches d’incendie

Les opérations comprennent également la réparation des nids-de-poule. Le secteur Sainte-Foy enregistre quelques signalements supplémentaires, selon Éric Lavallée de Québec, qui juge la situation normale.

Une scelleuse automatisée est utilisée pour soutenir les équipes au coût de 335 000 $ par année.

Entre mai et octobre, le réseau d’eau potable sera nettoyé, opération qui consiste à augmenter la vitesse de l’eau à l’intérieur des canalisations, ce qui élimine les dépôts.

km de canalisation d’aqueduc à entretenir c’est encore beaucoup, on en fait en moyenne entre 950 et 1000km par an”, “texte”: “Le réseau complet en terme de canalisations fait que nous avons environ 2500km de conduites d’eau à entretenir, c’est quand même beaucoup, nous faisons en moyenne entre 950 et 1000km par an”}}”>Le réseau complet en termes de canalisations fait que nous avons environ 2 500 km de canalisations d’eau à entretenir, ce qui est encore beaucoup. Nous faisons en moyenne entre 950 et 1000 km par anprécise Vicky Pichette à la Ville.

Les 15 200 bouches d’incendie seront également inspectées.

Toutes les opérations de nettoyage des rues coûtent 2,9 millions de dollars par an.