LL’Atelier parisien d’urbanisme (Apur) a publié, vendredi dernier, une étude recensant les 32 sites potentiels de baignade en Seine et Marne proposés par 26 communes d’Ile-de-France.
comme héritage des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024. Et le Val-de-Marne s’en sort pour le moins bien, puisqu’il possède à lui seul près de la moitié de ces sites de baignade.
Quatorze sites très exactement, 7 sur la Seine et 7 sur la Marne, répartis sur 13 communes du département : à Vitry-sur-Seine (Glacis des Halles), Ivry-sur-Seine (Grève Ivry-Vitry), Choisy- le-Roi (parc sportif interministériel), Orly (Chemin de halage), Villeneuve-Saint-Georges (Place Mouliérat et Confluence Seine/Yerres) et Villeneuve-le-Roi (Promenade des mariniers) pour la baignade dans la Seine ; et à Saint-Maurice (ancienne zone de baignade communale), Maisons-Alfort (ancienne zone de baignade communale), Saint-Maur-des-Fossés (Plage du Beach), Joinville-le-Pont (Plage du banc de sable), Champigny- sur-Marne (Rue de la Plage), Nogent-sur-Marne (Promenade Yvette-Horner – Île de Beauté) et Le Perreux-sur-Marne (Plage Montaigne) pour se baigner dans la Marne.
«Le premier héritage des Jeux Olympiques» ” La baignabilité sera le premier héritage des Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024 et le premier facteur d’attractivité territoriale du département
», estime le Conseil départemental, acteur de ce retour de la nageabilité soutenu par l’organisation des Jeux olympiques. Le Département a en effet investi pas moins de 150 millions d’euros dans les réseaux d’assainissement des eaux pluviales et des eaux usées pour garantir une qualité d’eau suffisante pour permettre le retour de la baignade dans la Seine et la Marne. Le 23 avril, il inaugurera également une station de dépollution des eaux pluviales située avenue Carnot à Champigny-sur-Marne. ” Cet équipement départemental rejettera dans la Marne les eaux de pluie épurées grâce à un traitement innovant aux ultraviolets, un procédé naturel qui neutralise 99,9 % des bactéries. », explique le milieu pour qui ces investissements répondent à bien d’autres enjeux que celui de la tenue des épreuves olympiques. ” Avec le changement climatique et la hausse des températures, le retour de la baignade sera une réponse et une amélioration du cadre de vie dans le Val-de-Marne
», motive ainsi le Département.: Les autres sites de baignade sont situés à Chelles, Le Coudray-Montceaux, Corbeil-Essonnes, Étiolles, Ris-Orangis, Viry-Châtillon, Boulogne-Billancourt, Sèvres, Rueil-Malmaison (avec trois sites : Quai Adolphe Giquel, Bellerive/Franklin Roosevelt, Rive Sud, boulevard Bellerive), Neuilly-sur-Marne, Épinay-sur-Seine, L’Ile-Saint-Denis (avec deux sites : Parc de loisirs nautique et Plage du Thorez) et à Paris (avec trois sites : Port de Bercy (XIIee), Bras Marie, Parc Rives de Seine (IVe) et Bras de Grenelle, Île-aux-Cygnes (XV
