au moins 35 États soutiendront la France pour sécuriser l’événement

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La ministre des Sports, Amélie Oudéa-Castéra, a précisé, mardi devant les députés, les demandes de renfort extérieur qui avaient été formulées.

France Télévisions – Éditorial Sport

Publié le 03/04/2024 08:14

Temps de lecture : 1 min

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Un policier dans le centre des opérations de sécurité avant l’une des demi-finales de la Coupe du monde de rugby, organisée en France à l’automne 2023. (THOMAS SAMSON / AFP)

Un événement cosmopolite pour ses participants, ses spectateurs mais aussi ses forces de sécurité. Pour sécuriser les Jeux olympiques et paralympiques, des équipes étrangères viendront renforcer les policiers et gendarmes français. Devant les députés, mardi 2 avril, Amélie Oudéa-Castéra, ministre des Sports, des Jeux olympiques et paralympiques, a précisé qu’outre les brigades canines, compte tenu du manque de chiens renifleurs, la France avait également émis des demandes de « motocyclistes », « brigades équestres », « experts en fraude documentaire », ou « spécialistes de la lutte anti-drones ».

Outre les 35 000 policiers et gendarmes, 18 000 militaires et environ 20 000 policiers municipaux et agents de sécurité privée française mobilisés sur la période, des forces de sécurité étrangères d’une trentaine de pays seront présentes à Paris cet été. « Fin mars, 35 Etats ont répondu favorablement à des renforts, notamment sur les risques techniques canins », a souligné le ministre dans l’hémicycle. Au total, “Une quarantaine d’attelages cynophiles militaires étrangers viendront renforcer le dispositif.”

Interrogé sur France 2 dans l’émission « Les Quatre vérités », le ministre a rappelé que cette coopération internationale « sur un savoir-faire de pointe » était habituel lors d’événements sportifs de cette ampleur. « Cela a été le cas lors de l’Euro 2016 et de la Coupe du monde de rugby. Nous avons nous-mêmes fourni ce type d’aide au Qatar pour l’organisation de la Coupe du monde de football.»

Interrogée également par les députés sur la situation délicate du groupe français Atos, partenaire du CIO et de la Cojop, en plein effondrement, et qui doit fournir notamment des services de cybersécurité, Amélie Oudéa-Castéra a affirmé que la situation était vue avec “vigilance” l’Agence française de la sécurité informatique (Anssi).

#France

 
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