Par Camille Lamblaut
Publié
22 janvier à 8h15,
mis à jour 22 janvier à 8h15
L’actrice et productrice britannique a publié ses mémoires mardi 21 janvier. De la ménopause rencontrée à 36 ans à la peur de ne jamais avoir d’enfant, elle livre une histoire personnelle nourrie de nombreuses conversations avec des médecins.
Elle dédie son livre aux « générations de femmes qui ont souffert en silence » et aux « générations suivantes » pour « qu’elles ne souffrent plus ». Naomi Watts a officiellement sorti son livre Oserais-je le dire (Oserais-je dire), le 21 janvier. L’actrice l’a annoncé sur son compte Instagram avec une photo de la dédicace suivie de plusieurs photos de ses grands-mères et de ses amies, les femmes de sa vie.
“J’espère que ce livre sera un guide amusant et accessible sur cette période de notre vie, comme une conversation agréable avec vos amis qui vous fournira toutes les informations dont vous avez besoin sur ce chapitre”, a-t-elle écrit en légende de sa publication.
-Ménopause précoce
Dans son livre, Naomi Watts se concentre sur son parcours jusqu’à la ménopause. Une étape normale dans la vie d’une femme qu’elle a vécue très tôt, à l’âge de 36 ans. « Juste au moment où j’étais prête à fonder une famille », écrivait-elle sur Instagram en août, dans un post annonçant la publication prochaine de son livre. Je pensais que c’était la fin de tout. Certainement en ce qui concerne ma fertilité et ma carrière – boum.
L’actrice, qui a depuis eu deux enfants, confie avoir lutté “dans la honte et le secret” et souffert de l’absence de “vraies ressources” et de “médecins bien informés”. «Je suis restée silencieuse aussi longtemps que j’ai pu», dit-elle encore sur Instagram. Mais sachant que la moitié de la population sera ménopausée et que deux de mes grands-mères vivent et se portent toujours bien, j’étais déterminée à en apprendre davantage et à optimiser ma santé – ainsi qu’à rassembler les femmes pour qu’elles sentent qu’elles ne sont pas seules dans cette situation. Nous méritons mieux !
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