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Loiret : des livres à dévorer pour les vacances !

Et ouvrage abordable pour le grand public curieux de l’histoire d’Orléans et où les étudiants et les enseignants trouveront des informations utiles. On y traite pêle-mêle, les naissance de la villel’importance de LoireOrléans, ville royale, Jeanne d’Arc libérant Orléans par la porte de Bourgogne, le vie religieuse intense, le étudiants venant de loin, parfois même de l’étranger, d’Allemagne par exemple, leévolution de la ville et les quartiers…

On apprend aussi que « Le 2 mai 1843 est une journée historique pour la et plus encore pour Orléans. Pour les Orléanais, c’est un jour de fête. Nous célébrons l’inauguration de la gare terminus de la ligne ferroviaire Paris-Orléans, la première en France avec une distance supérieure à 100 kilomètres « . S’ensuit le déclin rapide de la marine de Loire… et des vinaigreries : la maison Saintoin se reconvertit dans la production de chocolat, créant, en 1833, une usine rue de Bourgogne. Quatre grandes conserveries se partagent le marché, dont Maingourd, qui employait quatre cents ouvriers entre les guerres.

En 1856, Orléans subit une importante inondation : « Le niveau de la Loire dépasse les sept mètres à Orléans. Le jardin des plantes de Saint-Marceau est sous les eaux, tout comme l’avenue Dauphine, les maraîchers perdent tous leurs légumes… »

Puis, en 1870, l’État crée une usine de tabac où 280 femmes constituent la majorité du personnel.

À la Belle Époque, les Orléanais s’amusaient : cinéma ; des spectacles souvent inspirés du divertissement parisien ou arrêtés lors de leurs tournées (cirque, opérettes, opéras, café chantant, etc.) ; discothèques, dancings avec Dance Marathon… Parallèlement, la vie culturelle, littéraire et artistique n’est pas en reste ! Maurice Genevoix crée la Société des Artistes Orléanais, devenue aujourd’hui Les artistes orléanais. Deux revues littéraires entendent promouvoir l’art ligérien… On fait du sport, on apprend notamment à nager et on se baigne dans la Loire… On voit le quartier de La Source sortir de terre et, malgré les difficultés, s’organiser en lieu de vie. … avec la création de l’hôpital, de l’université et de nombreux emplois liés à l’afflux de salariés transférés de Paris à La Source (chèques postaux, CNRS, etc.). Pourtant Henri Blanquet, journaliste à La République du Centre, écrit dans son enquête sur la vie dans ce quartier : « Une ville nouvelle peut avoir 10 000 habitants et avoir encore besoin d’une âme… »

Ce livre regorge d’informations, qu’il est impossible de résumer ici, permettant de comprendre comment s’est formée l’Orléans d’aujourd’hui. C’est passionnant et enrichissant. Si vous aimez Orléans et souhaitez mieux connaître notre capitale régionale, prenez le - de la lire, vous en apprendrez beaucoup !

 
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