Dans l’ouvrage publié le 18 septembre 2024, on en apprend beaucoup sur ces acteurs (et victimes) environnementaux. Se voulant à la fois populaire et technique, notre regard erre entre les graphiques d’évolution des températures sur 800 000 ans en Antarctique, le retrait de la Mer de Glace (massif du Mont Blanc) d’ici 2100 et diverses questions. Les glaciers ont-ils sculpté les fjords (tronçons d’anciennes vallées glaciaires submergés par la mer) ? Cirques et vallées ? À quelle vitesse coulent les glaciers ?
Et l’atlas fait bien les choses : le premier chapitre est consacré à l’Antarctique. ” Tout à l’honneur : la masse glaciaire la plus grande, la plus épaisse et la plus ancienne du monde se trouve en Antarctique et justifie son nom de « continent blanc ». Cette calotte glaciaire, qui fut le dernier territoire de la planète exploré par l’homme, révèle aujourd’hui ses secrets au prix de dépassements humains, d’exploits techniques et scientifiques, coordonnés par les instituts polaires dans une logique de coopération internationale. »
Glaciers de cap, de vallée, de ruisseau ou de paroi ; relations entre glacier et climat à l’échelle mondiale, bilan de masse, tout y est ! Autour de cinq grandes parties, cet Atlas revient sur les définitions, le fonctionnement, les enjeux, les rôles des glaciers et leurs riches histoires (de la naissance d’un glacier à sa fonte et la création de nouveaux biotopes dans les espaces libérés). A avoir dans sa bibliothèque.
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