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Ma poussière est l’or du temps. Autobiographie de La Bibliothèque collectée et éditée par Lucien X. Polastron, utilisateur

Lucien ‘acquérir, classer et s’entourer de plus ou moins quinze mille volumes, je compte toujours comme on dit à la British Library. Ni de publier Des livres en feu. Histoire de la destruction sans fin des bibliothèquessuivi en 2006 par Lune grande numérisation. Y a-t-il une pensée après le papier ? et enfin Une brève histoire de tous les livres.

Il ne serait pas allé plus loin si, tout au long de ses pérégrinations dans le labyrinthe des catalogues et des étagères du monde, il n’avait pas entendu un murmure, le même et de plus en plus fort, qui s’est avéré être le monologue de La Bibliothèque, une et indivisible. , une sorte de génie du lieu, souhaitant toujours raconter sa vie séculaire à quelqu’un qui voudrait enfin l’écouter. C’est ainsi qu’il peut désormais faire revivre les souvenirs, la fierté, la colère et les éclats d’humour de celui qu’il considère, à juste titre, comme le meilleur ami de l’humanité.

Lire un extrait…

Présentation audio…

Né en 1944 en Gascogne, Lucien Xavier Polastron a une formation classique et une double carrière de reporter culturel et d’écrivain (essayiste). Spécialisé en architecture, en arts du livre et en philosophie naturelle, il a publié seize ouvrages faisant autorité. Son récit de destruction sans fin des bibliothèques (Books on Fire, 2004 et 2009) l’a fait connaître du grand public. Ma poussière est l’or du temps est la suite. Il a également publié Philosophia Naturalis chez Klincksieck.

Table des matières

Au début
Ce qui est dur
La fabrication du savoir
Vingt feuilles de format standard
Comme un cavalier qui tape
Finesse et qualité
Quelle que soit la course
Ne pas avoir de fibre

La loi suprême de leur existence
Comment le monstrueux fouillis
Des crimes dignes
Alors, encore et encore
Nous sentons clairement

Réfléchir / Classer / Réfléchir / Reclasser
Le premier catalogue éprouvé
Quand la grande agitation
Le plus têtu
Le suivre
Fils d’un riche financier
Dans l’intimité de la maison
Le microcosme du dossier
Ce qui est désormais impensable

Trésor de listes
Photius
Nicolas V
Naudé
Hesse
Listes pour Doucet
Queneau
Le Norvégien et les autres
Le LILU

De mes premiers établissements
La mère de toutes les bibliothèques
Nouvelle bibliothèque parent ?
poterie grecque
Alors Jules César
Le poète Mani
Leyiwenzhiyiwenzhi
« Priez, travaillez et lisez ! » »
Alkwin, Albinus dit Alcuin
C’est ainsi que mes collections
Le sacerdoce étendu
L’abbaye-école-scriptorium
Un favori
Et Guillaume Budé, alors ?
Je dois à Constantin I

De mes établissements novices
Dans l’ensemble, le XVe siècle
Tout le monde le sait, j’espère
Ce n’est pas seulement l’Inquisition
Érudit et bibliothécaire, célèbre
Première candidature
De retour au pouvoir
Les planificateurs
Toute splendeur
tableau des chapitres et sections
En général

De mes ultimes établissements
Andrew Carnegie aussi
Le faste habituel
Mon expérience millénaire
La forme d’un bâtiment
Un doublé au final
L’intelligence des lieux antiques
Au lieu de l’envoyer en prison

Le tout-fantôme et au-delà
Fantôme et bibliothèque
Encore plus furieux
Le blanc plus blanc

Bienheureux les pauvres en esprit
Déportation
La censure est un art
Le visage encore plus hideux
Apocalypse d’Anastasia
Et quelle existence est la plus à plaindre
Soudain, au tournant de l’année
La maladie à la mode
L’État, donc en France
Alors la bibliothèque ?
Public millefeuille
Bibliothéconomie
Laisse-la être une poule
Il est courant de lire
Mépris

Zéro est le Un fini

 
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