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Enquête Autrefois réservées aux Anglo-Saxons, les remerciements à la fin des Livres sont de plus en plus courants dans l’édition française. Pourquoi et comment cette pratique s’est-elle répandue ? Explications
Pour aller plus loin
Pourquoi parler de « les premiers lecteurs » quand peut-on les qualifier de « victimes tragiques des premières versions de ce texte » ? C’est ainsi que l’auteur géorgien Léo Vardiashvili les désigne dans les remerciements qui concluent « A l’orée d’une grande forêt » (Fayard). Plus poétique, Jean-Robert Jouanny rend hommage à “les fées en route” dans “Fatherland” (L’Aube). Publié dans L’Olivier, Eliot Ruffel salue sa famille « qui ne sait jamais vraiment pourquoi mais qui continue de vouloir savoir quoi ».
Touchant, facétieux, mystérieux : les remerciements occupent désormais une place à part à la fin des romans. Ils peuvent être laconiques ou policés, comme ceux d’Alice Zeniter, Erik Orsenna ou Philippe Jaenada. Ils peuvent cibler une seule personne, comme une certaine Catarina avec qui Vera Buck se souvient avoir « meurtres et homicides planifiés » pour ses « Enfants Loups » (Gallmeister), ou au contraire se tourner vers l’inventaire Prévert.…
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