Aubiac. Le livre mis en scène pendant deux jours à l’espace culturel

Aubiac. Le livre mis en scène pendant deux jours à l’espace culturel
Aubiac. Le livre mis en scène pendant deux jours à l’espace culturel

Soutenu par l’équipe de bénévoles autour de Patricia, le salon du livre a lieu deux fois par an dans les locaux du prieuré transformé en espace culturel.

La première a lieu en juin et cette année, sous un beau soleil enfin revenu, les installations ont quelque peu varié offrant la possibilité au chineur de voyager pour trouver son bonheur dans trois endroits différents. En arrivant par le parc, précédée d’arrangements floraux champêtres, l’ancienne cuisine des moines, aux voûtes blanchies à la chaux, abritait des trésors de livres aux belles couvertures, de beaux titres sur l’histoire, le sport, l’art, la cuisine, le bricolage, la bande dessinée pour adultes. Tôt ce samedi matin, Nadine, bénévole, a été accueillie et a vendu à bas prix des œuvres longtemps dormantes. Le collectionneur ne s’y est pas trompé ! A quelques pas de là, dans un espace plus concentré, Eveline et Liliane, tout sourire, informaient les parents du rayon enfants. Une petite fille, très intéressée, ne semblait pas avoir besoin de sa mère pour faire son choix. De beaux livres pour enfants offraient aux jeunes leurs jolies couvertures, à des prix imbattables.

A l’étage, l’univers des romans et des polars, régi par Patricia, la gérante, ne peut changer sa morphologie de présentation dans la longue salle où sont exposés des centaines de livres. Patricia, vous accueille, vous explique, vous encourage à acheter le nombre de livres qui permet d’en avoir un gratuitement. Les prix sont cohérents et bas. Au fond, dans le coin, les polars fourmillent, aux titres parfois glaçants mais adoucis par la lumière tamisée de la fenêtre. Le beau temps ayant persisté dimanche, nul doute que le salon du livre a fait le bonheur des chineurs mais aussi des bénévoles dévoués venus les uns après les autres les accueillir.

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

NEXT Le « Ritz Barman » régale et Esther arrive – Libération