Une « frappe précise sur une base du Hamas » qui a permis d’éliminer « plusieurs terroristes ». C’est ainsi que Tsahal a commenté l’assaut contre une école de l’UNRWA ce jeudi. Une attaque qui, comme bien d’autres depuis le 7 octobre, soulève des questions au regard du droit international humanitaire.
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Journaliste à la division Internationale
Publié le 06/06/2024 à 19h07
Temps de lecture : 1 min
TTôt ce jeudi, l’armée israélienne a revendiqué la responsabilité d’une frappe aérienne contre une école gérée par l’agence des Nations Unies pour les réfugiés palestiniens (UNRWA) dans le centre de la bande de Gaza. Quelques heures plus tard, un hôpital de l’enclave palestinienne (jusqu’ici sous autorité du Hamas) faisait état de près de 40 morts. A cela s’ajoutent les près de 37 000 personnes tuées, principalement des civils, dans l’offensive meurtrière de l’armée israélienne en représailles à l’attaque terroriste sanglante menée dans le sud d’Israël par le Hamas le 7 octobre, qui a fait 1 194 morts. , en majorité des civils.
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