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à 49 ans, la Montoise part à l’ascension du Mont Toubkal

A 49 ans, la Montoise vit sa vie à 100 à l’heure et ne veut pas ralentir. « L’âge commence à faire des ravages et en tant que chef d’entreprise, je travaille plus de 70 heures par semaine. Au quotidien, je suis déjà une fonceuse : je n’ai jamais peur de prendre des risques, même si pour cela Oser est vraiment le maître mot qui me guide, y compris en dehors du travail, et je crois qu’il n’y a pas d’âge pour commencer. et réalisez vos rêves !», explique-t-elle.

Fabienne De Brabanter sait que la tâche ne sera pas facile. “C’est une ascension difficile et je ne suis pas un athlète dans l’âme. Je me suis un peu préparé avec mon coach Nico en faisant des tapis de course et des squats mais c’est tout. J’y vais vraiment avec une mentalité de guerrier. Je crois que cela peut être plus fort que tout et que cela me permettra de surmonter les difficultés et la douleur.

Fabienne De Brabanter veut montrer qu’il n’y a pas d’âge pour oser réaliser ses rêves. ©DR

Et de poursuivre : «une ascension, c’est comme la vie : on avance, on grimpe, on perd un peu l’équilibre, on doute et quand on revient sur un terrain plus confortable, on recommence à grimper. C’est déjà ce que nous faisons au quotidien, finalement ! L’aventure aura aussi une dimension solidaire puisqu’en ce mois d’Octobre Rose, elle sera dédiée à tous ceux qui luttent ou ont lutté contre la maladie.

Kilimandjaro depuis 50 ans

« Dès mon retour, une collecte de fonds sera lancée pour soutenir la recherche contre le cancer du sein et le Palais des Congrès sera illuminé en rose pour le reste du mois. » Arrivée à Marrakech ce lundi, Fabienne De Brabanter débutera son périple ce mercredi matin. « Nous avons environ 10 heures de marche pour rejoindre le point de repos. Nous partirons ensuite vers 3 heures du matin pour la dernière ascension en espérant assister au lever du soleil depuis le sommet.

Il n’est pas encore question d’appréhensions. « J’ai tendance à vivre le moment présent donc je n’y pense pas encore vraiment. C’est plutôt la descente qui me fait peur car j’ai le vertige. L’année dernière, lors d’un voyage thérapeutique où elle a profité d’une véritable déconnexion au milieu du désert jordanien, la Montoise s’est découvert une nouvelle passion en gravissant trois sommets.

Le mont Toubkal sera cependant sa plus grande ascension. « J’espère pouvoir repartir chaque année à cette période pour faire un nouveau sommet »annonce l’entrepreneur, qui ambitionne déjà de gravir le Kilimandjaro (3 962 mètres) pour fêter ses 50 ans.

 
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