EEn France, un élu français a été flashé à 164 km/h alors qu’il était sous l’emprise de cocaïne. L’intéressé nie et il trouvera les mots. Et pour cause, l’homme de 32 ans est avocat… spécialiste du droit routier. Une maîtrise d’autant plus utile pour se défendre contre les deux délits qui lui sont reprochés.
Les faits sont rapportés par nos confrères de Ouest-France. Et depuis le 7 août 2024, jour du contrôle effectué par les gendarmes sur une voie 2X2 près de Flers, l’élu cherche à se faire entendre par les militaires. « Je voyage en train, je marche beaucoup et je peux compter sur mes amis et ma famille pour le travail (…) Je suis déterminé, je vais me battre. »
Ce jour-là, vers 19 heures, la police l’a contrôlé à 164 km/h au lieu de 110. « J’ai remarqué qu’elle toussait. Je voulais la détartrer, c’est une voiture qui a 240 chevaux. Nous ne remarquons pas la vitesse», tente-t-il de convaincre nos collègues de La Voix du Nord. Le test d’alcoolémie est négatif. Mais le test salivaire s’est révélé positif à la cocaïne. Le conducteur plaide une intoxication alimentaire. « Si j’avais consommé, je l’aurais reconnu et je n’aurais pas demandé un deuxième avis. Depuis deux mois, j’attends toujours les résultats de cette contre-expertise.
Comment explique-t-il que le premier test ait été positif ? « La veille, je suis sortie au bar-restaurant avec des amis, j’ai peut-être bu un verre. Je n’avais pas de cigarettes, j’ai partagé. C’est très volatile. Tout cela ne sont que des hypothèses. Je n’ai pas de réponse. »
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