L’envoyé de Donald Trump ne se rendra pas en Ukraine avant le 20 janvier

L’envoyé de Donald Trump ne se rendra pas en Ukraine avant le 20 janvier
L’envoyé de Donald Trump ne se rendra pas en Ukraine avant le 20 janvier

L’armée française, qui a formé une brigade ukrainienne en avant son départ au front, a noté “quelques dizaines” de désertions lors des entraînements, selon l’état-major, tandis qu’un commandant ukrainien a reconnu “problèmes” au sein de cette unité. « Il y a eu un certain nombre de désertions, mais celles-ci restent très marginales compte tenu du volume de personnes formées »a déclaré lundi un responsable de l’état-major français à l’Agence -.

Selon lui, les soldats entraînés étaient soumis à “un régime (…) imposé par le commandement ukrainien ». Plus “on ne criminalise pas la désertion en France”il a souligné. « Si quelqu’un désertait, un procureur français n’avait aucune autorité pour arrêter cet individu. Et le droit accordé aux autorités ukrainiennes sur le sol français n’est qu’un droit disciplinaire. »

Il précise qu’il ne dispose pas encore des chiffres consolidés, mais estime qu’il s’agit “de l’ordre de quelques dizaines” désertions sur le territoire français.

Nommée « Anne de Kiev », du nom de l’épouse du roi de France Henri Ierestla brigade adopte comme devise le slogan de la bataille de Verdun : « Ils ne passeront pas. » Sur cette unité de 4 500 soldats, l’état-major, trois bataillons d’infanterie et leurs appuis (génie, artillerie, défense sol-air et reconnaissance) ont été formés en France, soit environ 2 000 hommes, dont 90 % de conscrits sans expérience du combat, accompagnés de 300 superviseurs ukrainiens. Le reste de l’unité a été formé en Ukraine.

“Je confirme bien sûr qu’il y a eu des problèmes avec le commandement et le processus de formation”a avoué le commandant des forces terrestres ukrainiennes, Mykhaïlo Drapaty, à plusieurs médias, dont l’Agence -, mais “peut-être pas à l’échelle (…) présenté ».

“Je ne vois pas vraiment ce qu’on pourrait qualifier d’abus de pouvoir”» a affirmé de son côté le chef de l’état-major français. “En tout cas, rien n’a été rapporté concernant le stationnement des Ukrainiens en France ou ce qui s’est passé lors de ces entraînements”. Il a insisté sur le fait que la formation avait été ” selon “ aux souhaits des Ukrainiens, en matière « équipement, durée et niveau de formation ».

 
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