Interviewée par un animateur de radio, la candidate républicaine à la Maison Blanche a assuré que sa rivale démocrate Kamala Harris, actuelle vice-présidente des Etats-Unis, avait laissé des milliers de « meurtriers » revenir au pays, via sa politique migratoire.
“Beaucoup d’entre eux ont assassiné plus d’une personne et vivent désormais en paix aux États-Unis”, a déclaré Trump. Avant d’ajouter : « Ces meurtres, vous savez, je pense que c’est dans leurs gènes. »
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« Et nous avons actuellement beaucoup de mauvais gènes dans notre pays », a-t-il déclaré.
Dans cette campagne, l’ancien président républicain use d’un discours de plus en plus violent envers les migrants, multipliant mensonges et contrevérités.
A l’en croire, le pays souffre d’une « invasion » de migrants, qu’il accuse de tous les maux : « violer des jeunes filles américaines », « empoisonner le sang » des Etats-Unis, manger des animaux domestiques.
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Lors de sa première campagne à la Maison Blanche, en 2015, Donald Trump avait déjà choqué avec ses propos sur les immigrés clandestins « violeurs ».
Il avait alors promis de construire un immense mur le long des 3 000 kilomètres de frontière qui sépare le Mexique des États-Unis pour empêcher les migrants d’entrer sur le sol américain. Un projet qui n’a jamais abouti.
