FILS D’UN « TRAITRE » À LA RÉVOLUTION ALGÉRIENNE, CELUI QUI A FERMÉ LES FRONTIÈRES DU TEMPS DU ZEROUAL ET MOROCOPHOBE DU CHOIX – .

FILS D’UN « TRAITRE » À LA RÉVOLUTION ALGÉRIENNE, CELUI QUI A FERMÉ LES FRONTIÈRES DU TEMPS DU ZEROUAL ET MOROCOPHOBE DU CHOIX – .
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BABA-HIBAPRESS-RABAT

En Algérie un ministre part, un autre arrive, alors qu’ils sont tous les deux « revenus » après avoir déjà exercé pendant quarante ans. Si nous le foot on ne change pas une équipe qui gagne, en Algérie on prend toujours les mêmes vaincus pour les renouveler pour vouloir stabiliser la situation interne et externe du pays car en manque de jeunes compétences ce qui “pourrait constituer un danger pour les généraux” qui préfèrent retourner aux vieilles mains

Aujourd’hui le scénario se répète encore avec l’arrivée d’Ahmed Attaf qui succède ainsi à Ramtane Laàmamra au poste de ministre de l’A/E

Aujourd’hui donc, un vieux-« jeune » ministre retrouve à nouveau ses fonctions qu’il a perdues depuis très longtemps.

L’ancien-nouveau ministre de l’A/E d’Algérie, qui voue une haine considérable au Maroc, semble vouloir se permettre une nouvelle fois de concurrencer la diplomatie marocaine qui a mis à genoux 06 ministres de l’A/E depuis l’arrivée à ses ordres du jeune et dynamique Nacer Bourita

La comparaison ne peut tenir au fait que l’ambition de Bourita est bien plus solide que celle d’un vieil Attaf qui ne veut être qu’un phobe marocain de plus, rien de plus, avec pour seule ambition de pérenniser, comme l’avait souhaité et imposé Boumedienne à tous ses successeurs, le seul dossier du Polisario et sa vision qui reste aussi la seule priorité des priorités pour l’Algérie

Aujourd’hui, un personnage issu d’une famille de “traîtres” à l’Algérie et ses Martyrs, revient sur la scène politique pour espérer embarrasser le Maroc car il est l’instigateur de la fermeture des frontières avec le Royaume Chérifien

On retrace ensuite la vie d’Ahmed Attaf, né le 10 juillet 1953 à Aïn Defla en Algérie, petit-fils d’un Pachak (surnom de Pacha de chez nous) qui a travaillé sous le joug français et qui a terrorisé, poursuivi et exécuté les martyrs de la Révolution algérienne

Avant sa nomination au gouvernement en avril 1994, Ahmed Attaf était alors connu pour son soutien à la fermeture des frontières entre l’Algérie et le Maroc, qu’il justifiait par la contrebande de produits alimentaires algériens et le trafic de drogue. Après sa nomination au gouvernement, il rédige un mémorandum en 1994, dans lequel il informe le président Zeroual de la nécessité de fermer les frontières avec le Maroc. Ce qu’il obtient du chef de l’Etat.

En janvier 1996, il devient ministre des Affaires étrangères de l’Algérie et occupe ce poste jusqu’en 1999.

En 1997, il est l’un des membres fondateurs du Rassemblement national démocratique (RND).

En 2014, il est exclu du RND par le président Abdelkader Bensalah après avoir rejoint le parti Avant-garde des libertés fondé par Ali Benflis.

En 2015, il est nommé conseiller de Benflis et président du bureau politique du mouvement.

En 2019, il s’implique dans la campagne électorale d’Ali Benflis pour l’élection présidentielle algérienne de la même année, qui affronte Abdelmadjid Tebboune en concurrent.

Le 16 mars 2023, Ahmed Attaf vient d’être nommé ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger dans le gouvernement Benabderrahmane lors du remaniement ministériel proposé par Tebboune, succédant ainsi à Ramtane Lamamra. Cette nomination marque le retour d’Ahmed Attaf aux affaires étrangères, après une longue période de retrait de la vie politique.

Pour plus d’informations sur ce “fils de Harki”, entrez sur le site de Hichem Abboud, Anouar Malik ou encore Walid Kébir, vous y trouverez la vraie vie d’Attaf et ses origines

 
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