Chaque matin, des millions de Français commencent leur journée avec une tasse de café. Certains le préfèrent limitéautres long. Vous pouvez ajouter du sucre, de la crème ou du lait. Ce matin, mon ami doit cependant être consommé
avec modération. Les médecins recommandent généralement ne buvez pas plus de trois tasses par jour.
Dans un rapport publié en 2015, l’Agence européenne de sécurité des aliments (EFSA) alerte sur les risques liés à une ingestion importante de caféine. Tous les consommateurs sont particulièrement exposés à maladies cardiovasculairesmais aussi problèmes liés au système nerveux centraly compris les troubles du sommeil et l’anxiété.
Boire du café : ce mythe démoli par Jimmy Mohamed
Attention aux idées reçues ! C’est l’avertissement de
Jimmy Mohamed dans son livre Zéro contrainte pour rester jeune : Il n’y a pas d’âge pour commencer !publié chez Flammarion en février 2024. Le célèbre médecin résout, entre autres, un interminable débat sur la consommation de café.
Selon lui, “les effets de la caféine sont transitoires et s’estompent après un certain temps chez les consommateurs réguliers de café.. La chroniqueuse du Magazine Santé sur la chaîne France 5 conclut donc que
« S’il ne fallait retenir qu’une chose, c’est que
le café est bon pour le coeur« . Boire du café aurait également un effet tout aussi bénéfique et surprenant sur un autre organe vital.
Boire du café est-il bon pour le cerveau ?
Le Centre de toxicomanie et de santé mentale (CAMH) indique sur son site officiel que la caféine stimule le cerveau. Sa consommation aurait “un effet positif sur l’humeur” en plus de retarder la fatigue. « Cela aide aussi mieux effectuer des tâches cognitives simples et tâches physiques qui nécessitent de l’endurancemais pas ceux qui demandent une grande dextérité manuelle »précisent les experts du centre.
Les conclusions de plusieurs études épidémiologiques et des études expérimentales réalisées récemment stipulent finalement que la consommation de caféine bénéficie en particulier aux fonctions cognitives des personnes souffrant
d’une forme précoce ou modérée de la maladie d’Alzheimer, sans toutefois connaître les mécanismes moléculaires à l’œuvre.
Santé
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