C’est le moment idéal pour faire du sport et ainsi réduire le risque de cancer de 11% selon les chercheurs

C’est le moment idéal pour faire du sport et ainsi réduire le risque de cancer de 11% selon les chercheurs
C’est le moment idéal pour faire du sport et ainsi réduire le risque de cancer de 11% selon les chercheurs

Les chercheurs ont étudié la corrélation entre le moment de la journée où les gens font de l’exercice et leur risque de développer un cancer. Nous vous dévoilons les résultats de cette analyse et le moment idéal auquel il est recommandé de pratiquer une activité physique.

Il n’est plus nécessaire de prouver que bouger est bon pour la santé et réduit considérablement le risque de développer un cancer chez les personnes d’un certain âge. Or, une étude menée par une équipe de chercheurs allemands a démontré que la pratique du activité physique à un moment précis de la journée pourrait avoir un impact supplémentaire sur ce risque. Nous vous dévoilons plus de détails sur le sujet.

Analyse des données fournies par les scientifiques

Une tranche d’âge ciblée

En conclure que pratiquer une activité physique à heure fixe réduirait la risque de cancer de 11%, les chercheurs se sont appuyés sur les données de 86 252 personnes. Tous les participants étaient âgés de 42 à 79 ans. Lors de l’étude, ils ont principalement observé le moment de la journée où ces Britanniques faisaient du sport, souligne Le Journal des Femmes. Certains pratiquent tout au long de la journée, d’autres en début et en fin de journée. Cette dernière catégorie déclare faire du sport à midi ou tard le soir.

Quel cancer est concerné ?

Face à la multitude de cancers existants, les chercheurs se sont concentrés sur le cancer colorectal compte tenu des données convaincantes sur son lien avec le sport. En effet, après cinq ans, les scientifiques ont recensé près de 529 cas. L’auteur de l’étude, le professeur Michael Leitzmann, a déclaré : «Notre étude souligne que non seulement l’activité physique est importante pour réduire le risque de cancer colorectal, mais que le moment où l’activité est maximale tout au long de la journée pourrait jouer un rôle crucial.« . De plus, le dépistage du cancer colorectal a lieu en mars, alors n’hésitez pas à vous faire dépister en 2025.

Rappel de l’INCa

La semaine dernière, James Van Der Beek, l’un des acteurs de la série Dawson, annonçait qu’il souffrait de cancer colorectal. Ce type de cancer est plus fréquent et touche environ 47 000 personnes par an en . L’INCa rappelle cependant qu’il est possible de l’éviter en modifiant son rythme de vie. Parmi les facteurs mentionnés figurent les mode de vie sédentaire. À cet effet, l’organisme recommande de pratiquer une activité physique régulière pour tenir à distance cette maladie. Il existe des moyens de dépister ce cancer en commandant un kit de dépistage.

Deux pics d’activité intéressants

Les résultats de l’étude publiée dans BMC Medicine montrent que la pratique d’un sport à midi, en fin de journée ou en soirée n’a aucun impact sur le risque de cancer. En revanche, faire une activité en début ou en fin de journée réduirait de 11 % le risque de cancer colorectal. Ainsi, les scientifiques ont enregistré deux pics bénéfiques à savoir : 8h et 18h. En faisant du sport à ces horaires, vous réduirez le risque et si ce constat est avéré, cette approche pourrait être innovante. S’il est vrai qu’un traitement efficace à 100 % contre le cancer colorectal a été découvert après un essai clinique, il est préférable d’éviter de recourir à ce traitement. maladie.

Autres bienfaits du sport pour la santé

Des recherches supplémentaires sont nécessaires

Le professeur responsable de l’étude et son équipe ont été ravis des résultats obtenus au final. Cependant, il explique que des recherches approfondies sont nécessaires pour documenter le rôle du timing de l’activité physique dans prévention du cancer.

Résultats d’une autre étude

Une étude réalisée par des scientifiques de l’Université de Sydney a montré que la pratique régulière d’une activité physique contribuerait à réduire le risque de maladies cardiovasculaires et la mortalité chez les personnes atteintesobésité. Pour arriver à ces résultats, les experts ont suivi les participants pendant huit ans et leur activité a été mesurée à l’aide d’un accéléromètre.

 
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