Si l’apéritif du vendredi soir au café-librairie d’Ingrid Rivet et Laurent Solignac s’est déroulé dans l’ambiance festive qui le caractérise depuis plusieurs mois maintenant, il s’est coloré cette fois de notes de poésie, sous les compositions, voix et guitare acoustique de Ernest Barbery.
Lié aux chevaux
L’artiste, originaire de Toulouse, a quitté la ville pour la campagne depuis le Covid, faisant un retour à ce qu’il appelle la sobriété musicale, à contre-courant volontaire de la tendance musicale actuelle : folk métissé, mélodies épurées, odes à la nature et à l’amour, ballades et mélancolie joyeuse. . Il vit désormais à proximité des chevaux qui ont sans doute inspiré son tout nouveau single « Horses ».
« Ce sont les chevaux qui m’ont permis de rencontrer Ingrid, par une jolie coïncidence d’amitiés communes liées au monde équestre », explique-t-il.
Ernest Barbery regrette la fermeture des lieux de culture qu’il aimait au profit de grandes structures et se sentait en résonance avec un lieu comme Vers le beau, dont les fondateurs envisagent de développer des résidences d’artistes et de culture en milieu rural, y compris hors saison touristique.
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