Jusqu’au 25 février, le Victoria & Albert Museum présente « Gabrielle Chanel. Fashion Manifesto », une relecture sociologique, voire politique, de l’exposition du Palais Galliera 2021 consacrée à Coco Chanel. Où l’on apprend qu’il a été (aussi) résistant pendant la guerre et l’on voit des pièces exceptionnelles jamais montrées auparavant.
Une semaine avant l’ouverture de l’exposition du Victoria & Albert Museum le 15 septembre, le très sérieux The Guardian a créé le buzz en révélant le contenu d’un document inédit, attestant que « Chanel dit Coco » était membre occasionnel du groupe Éric. réseau de résistance dirigé par René Simonin, du 1er janvier 1943 au 17 avril 1944. Ces archives inédites se confrontent, au passage, à une chronologie détaillée revenant sur son rôle d’agent de l’Allemagne nazie lors, notamment, d’une vaine et incroyable tenter de jouer les intermédiaires avec Churchill. Le Premier ministre appréciait l’intrépide Française qu’il avait connue à travers le riche duc de Westminster, son amant dans les années 1920.
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La « chronologie » retrace également ses démêlés avec les Wertheimer, les industriels avec lesquels elle fonde la société Chanel Parfums en 1924 pour fabriquer le n°5. Mais dix ans plus tard, elle porte ce partenariat en justice, s’estimant lésée…
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