En 2024, les radars photo ont rapporté environ 100 millions de dollars au Québec, soit près de 25 millions de plus qu’en 2023.
En slalomant entre les voitures sur l’autoroute, en ne ralentissant pas dans les zones de travaux, je ne peux pas être le seul à m’étonner chaque fois que je prends la route du nombre de personnes qui conduisent extrêmement vite.
Le manque de surveillance routière permet aux gens de se sentir au-dessus du code de la route. Ces conducteurs intrépides mettent leur vie et celle des autres en danger.
Le gouvernement du Québec ne devrait pas hésiter à prendre de l’argent dans les poches des gens qui ne respectent pas le Code de la route.
Surveillance accrue
Si des radars photo étaient présents sur la plupart des routes du Québec, je crois que nos routes seraient beaucoup plus sécuritaires.
Je pense par exemple aux ouvriers du bâtiment qui ont bénéficié en 2024 de la protection offerte par ces radars photo installés sur des chantiers comme celui du pont-tunnel Hyppolyte-Lafontaine qui a aussi valu beaucoup d’amendes en 2024.
En ayant davantage de radars photographiques, les conducteurs auraient beaucoup moins de possibilités de faire respecter la loi et de mettre en danger la vie de personnes qui ne demandent rien.
Une insouciance qui nous ramène
En 2025, il ne faudra pas hésiter à utiliser la technologie pour rendre les déplacements des Québécois plus sécuritaires.
Les personnes qui roulent à grande vitesse sur nos routes devraient être surveillées encore plus et d’autant mieux qu’elles contribuent ainsi à renflouer les caisses de notre gouvernement.
Il ne devrait pas y avoir de gêne à faire payer ces personnes imprudentes, surtout quand on sait que cette insouciance peut coûter des vies.
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