Les 10 meilleurs films de super-héros qui n’étaient pas basés sur des bandes dessinées (partie 2)

Bien que la plupart des films de super-héros soient adaptés de bandes dessinées, notamment Marvel Comics et DC Comics, il existe quelques longs métrages indépendants du genre. Ici, nous allons nous concentrer sur les films de super-héros qui ne sont PAS adaptés d’une bande dessinée. Voici 10 films de super-héros indépendants qui ne sont PAS basés sur une bande dessinée !

10) Film de super héros

Sorti en 2008, Film de super-héros est une parodie du film de super-héros dans toute sa splendeur. Réalisé par Craig Mazinle long métrage s’inscrit dans la continuité de films comme Film d’horreur. Mais ici, ce ne sont plus des franchises d’horreur, mais plutôt des films de super-héros qui sont parodiés. L’occasion de rencontrer nos héros préférés, de Superman à Ant-Mandans des versions totalement has been, décalées, dérangeantes et totalement débiles. C’est un peu drôle, mais surtout très bête.

9) Super-héros malgré lui

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Encore une parodie, mais cette fois, à la française. Après avoir proposé une relecture étonnamment intéressante de Nicky Larsonle cinéaste Philippe Lacheau aborde le film de super-héros. Mené par son gang habituel (Julien Arruti, Tarek Boudali, Elodie Fontan), Super-héros malgré lui est en deçà des attentes, et surtout du standing habituel du réalisateur. C’est sympa, mais le film ne vole jamais très haut et son concept s’essouffle vite. Dommage, l’idée de mettre cet acteur dans la peau d’un véritable super-héros était intéressante.

8) Miraculous – le film

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Adapté de la série éponyme, Miraculous – le film raconte les aventures de Coccinelle et Chat Noir qui devra affronter le Papillon et sa horde de super-méchants dans les rues de Paris. Plus orienté vers un jeune public, cela n’empêche pas que Miraculous – le film est en effet un film de super-héros à part entière, né de l’esprit de Jérémy Saw.

7) Puissance du projet

type="image/webp"> type="image/webp"> type="image/jpeg"> type="image/jpeg">Puissance du projet>>>>

Sorti en 2020 sur Netflix, Puissance du projet reprend tous les codes de la bande dessinée, mais n’est pas adapté d’une bande dessinée. Dirigé par Jamie Foxx et Joseph Gordon-Levittle long-métrage plonge les spectateurs dans un univers dominé par les super-héros. Très inspiré par Les garçonsl’histoire raconte comment une drogue permet à ses utilisateurs de développer des super pouvoirs. Malheureusement, Puissance du projet c’est un peu décevant. Même si le film a plus d’âme que la plupart des productions Netflix, il ne décolle jamais vraiment. La faute réside dans un scénario téléphoniqueavec un rythme trop inégal et des scènes d’action totalement ratées. Dommage…

6) Comment je suis devenu un super-héros

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Une autre production française réalisée par Douglas Attal, Comment je suis devenu un super-héros est considéré comme l’ensemble premier véritable film de super-héros du cinéma français. Mené par un casting XXL (Pio Marmaï, Leïla Bekhti, Benoît Poelvoorde), Comment je suis devenu un super-héros est un film ambitieux, une proposition unique dans le paysage du cinéma français. Malheureusement, l’exécution manque parfois de panache. Surtout si on le compare au cinéma hollywoodien. La direction artistique est terriblement décevante, et l’œuvre manque de vision innovante. Néanmoins, la proposition de Douglas Attal date dans l’histoire du cinéma français pour sa prise de risque unique.

5) Ça s’appelle un robot jeeg

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Sorti en 2015, Ils l’appellent Jeeg Robot partage de nombreux éléments avec Comment je suis devenu un super-héros. Ce Série B italiennesans gros budget, raconte l’histoire d’un individu lambda qui, après un accident, devient un super-héros. Mort de robots est pourtant une proposition plus convaincante que celle de notre ami Attal. Mort de robots essayez de bousculer les codes stéréotypés du film de super-héros. Sans y parvenir complètement, le film est néanmoins un oeuvre uniquequi offre un prisme rafraîchissant au genre. Les scènes d’action sont dantesques et l’identité du cinéma italien est omniprésente.

4) Les prodiges

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Film d’animation français peu connu sorti en 2011, Les prodiges joue habilement avec les codes du film de super-héros. C’est une proposition inégale, mais définitivement généreux. Le traitement visuel, les chorégraphies, l’image et le traitement de l’action ont quelque chose d’unique en leur genre. Dommage que l’intrigue, qui emprunte autant à X-Men que de Incassable, est trop faible pour vraiment porter le film dans d’autres sphères. En tout cas, nous ne savons pas si Josh Trank scie Les prodigesmais Chronique doit beaucoup au film de Antoine Charreyron.

3) Brightburn – l’enfant du mal

type="image/webp"> type="image/webp"> type="image/jpeg"> type="image/jpeg">Brûlure brillante>>>>

Produit par James Gunn, Brûlure brillante est un récit horrible de l’histoire de Superman. Réalisé par David Yaroveskyle long métrage imagine comment, dans un réaliste et horribleun enfant de 10 ans, avec ses caprices et ses sautes d’humeur, aborderait les pouvoirs de Superman. Visiblement, les choses ne se passent pas aussi bien qu’avec Clark Kent. Brûlure brillante est un divertissement efficace. Vraiment trash dans sa représentation de la violence, le film évite la fin heureuse et bien-pensante, et ne aucune concession.

2) Les aventures de Rocketeer

type="image/webp"> type="image/webp"> type="image/jpeg"> type="image/jpeg">Les aventures de Rocketeer>>>>

Retour aux années 1990. En 1991, Joe Johnstonle directeur de Jumanji, Parc Jurassique III ou même Captain America : Premier Vengeursigne un film de super-héros pas comme les autres. L’histoire se déroule juste avant la Seconde Guerre mondiale, et raconte l’histoire de Cliff, un jeune pilote passionné d’aviation. Le jeune homme tombe alors sur une mini-fusée qui lui donne la capacité de voler. Il va alors se construire toute une armure et combattre le nazisme sous le pseudonyme de Fusée. Joe Johnston signe un film assez classique mais porté par un rythme agréable et une ambiance empruntée au cinéma de Steven Spielberg, années 1980. Un divertissement calibré mais efficace en somme.

1) Chronique

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Avant de se casser les dents avec son remake de Les Quatre Fantastiques, Josh Trank a sans doute réalisé l’un des meilleurs films de super-héros indépendants. Avec Chronique, il révolutionne le genre. Déjà parce que le film n’est adapté d’aucune bande dessinée. Ensuite, parce qu’il décide de proposer un film de super-héros tourné en images trouvées. Une première. Enfin parce que le film a permis de découvrir au monde deux acteurs talentueux : Michael B Jordan et Dane DeHaan. Si le directeur propose un esthétique différenteil reprend cependant les clichés du genre. On retrouve des adolescents qui doivent apprendre à gérer leurs pouvoirs. Mais contrairement aux blockbusters habituels, Chronique décide de prendre un autre itinéraire, beaucoup plus sombre. Il met en scène une jeunesse attirée par le côté obscur de la Force, une jeunesse déguisée par ses pouvoirs, ses prérogatives, par cette opportunité d’être quelqu’un. En fait, c’est un peu l’antithèse de « Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités. »

 
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