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Une RS6 GT des dernières et grandes nouveautés en

Minifourgonnettes RIP

L’actuelle BMW Série 2 Active Tourer est en sursis.

C’étaient des stars absolues. Il y a trente ans. Puis ils ont commencé à disparaître du catalogue des généralistes, remplacés par des SUV, plus hauts et plus fashion, voire plus performants. Mais ils ont survécu, bravant vents et marées sous des drapeaux premium et allemands. Mais de l’autre côté du Rhin aussi, les monospaces tireront leur révérence. La BMW Série 2 Active Tourer disparaîtra en 2027 et son amie la Mercedes Classe B ne fera pas long feu.

Découvrez en détail le glas de ces monospaces.

Audi RS6 GT : un dernier voyage pour la route

Il y a des funérailles plus désagréables. Pour saluer une dernière fois le break familial le plus extraverti du marché, Cédric Pinatel a parcouru 1 500 km au volant, entre le Monténégro et l’Allemagne. Un hommage à la pompe à incendie qui tirera sa révérence en version thermique, avec sa cohorte de 630 ch et son prix fou de 236 000 euros, auxquels il faut ajouter un bon vieux malus derrière les fagots de 60 000 euros. Une voiture extrême ? Certes, même si le testeur préfère la Rs6 Performance, un peu moins performante mais plus confortable. L’effet de l’âge sur les longs voyages ?

Retrouvez en détail le test de l’Audi RS6 GT

D’occasion, la Puretech est clairement boudée

Ses déboires sont désormais connus de tous. Le Puretch 1,2 l de Stellantis est tellement maudit que ses parents l’ont transformé et renommé. Mais il regorge de modèles d’occasion de nombreuses marques du groupe. Manuel Caillot est donc allé parcourir les petites annonces pour vérifier si la remise sur ces voitures était efficace. Et son constat est assez terrible : toutes les marques et tous les modèles sont concernés, sauf, curieusement, le DS7 Crossback. Au rayon citadines, la Peugeot 208 est plus discountée que l’Opel Corsa, bien que similaire. Comme si Puretech était avant tout associée au Lion.

Retrouvez cette enquête en détail.

: Crésus in pole position

Max Verstappen, champion de Formule 1 2024, est ravi. Il a empoché 75 millions de dollars cette année. Crédit photo MaxPPP.

La F1 est un sport de riches, mais c’est aussi un sport qui enrichit ceux qui la pratiquent. Du moins ceux qui se hissent en haut de la grille toutes les deux semaines. Le magazine Forbes a établi son classement salarial pour la saison 2024 et il est édifiant. Max Vesrstappen, champion du monde, empochera la somme faramineuse de 75 millions de dollars, salaire et primes confondus. En deuxième position, Lewis Hamilton ne gagnera « que » 57 millions, le pauvre. Au bas de cette grille, Pierre Gasly est en dixième position, avec seulement 12 millions.

Retrouvez cette curieuse grille salariale complète.

 
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