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De la gloire à la ruine, la fin de carrière confuse du Ghanéen Asamoah Gyan

LE ANALYSE SPORTIVE – L’attaquant ghanéen, qui a notamment joué au Stade Rennais, était à un moment le huitième joueur le mieux payé au monde, lorsqu’il a signé en Chine en 2015.

Ayant joué à Sunderland, Al-Ain ou encore à l’Udinese, Asamoah Gyan a connu une carrière riche. Double finaliste de la CAN et quart de finaliste de la Coupe du monde 2010 avec le Ghana, l’attaquant à la retraite a connu la gloire et la ruine de sa carrière lorsqu’elle a pris fin. Dans une interview pour GhanaWeb, il avoue n’avoir à un moment donné que 724 euros sur son compte bancaire. Un moment difficile où le Ghanéen était en train de se séparer de son ex-femme et de renier ses enfants.

Pour rembourser sa pension alimentaire, Gyan a dû laisser à son ex-femme et à ses enfants de nombreux biens dont une maison en Angleterre et à Accra (capitale du Ghana). Mais désormais, l’ancien attaquant Étoiles noires est devenu un véritable philanthrope. En plus de son association, Asamoah Gyan est aussi : chanteur, magnat du riz et des nouilles, propriétaire d’une compagnie aérienne… En plus d’une fortune retrouvée, sa popularité est aussi revenue à son firmament, lui qui fait partie des meilleurs de l’histoire de la sélection ghanéenne.

 
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