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Le directeur d’Alpine se défend sur le passage à un moteur Mercedes

Un choix qui n’a pas manqué de provoquer des réactions. Ces dernières semaines, Alpine a officialisé une décision qui faisait parler de lui depuis des mois. L’écurie française a décidé d’abandonner son moteur Renault en 2026 pour passer chez Mercedes. Un choix qui va déstabiliser de nombreuses personnes sur le site de Viry-Châtillon et qui fait polémique. Pourtant, dans le podcast Beyond The Grid, Oliver Oakes justifie cette décision, notamment par des raisons économiques : « Le sujet de Viry est très ‘personnel’ pour l’équipe et pour beaucoup de gens, car c’est une très belle histoire d’équipe d’usine. Mais les temps changent aussi ; nous voyons cela dans toutes sortes d’équipes sportives, vous ne pouvez pas vous reposer sur vos lauriers. Et je pense que nous devons être honnêtes ; l’analyse a été faite avant que je commence, et au niveau du conseil d’administration, que la décision de devenir une équipe cliente était dans le meilleur intérêt de l’équipe. »

Une décision « difficile à prendre »

Pour le directeur d’Alpine, le passage à un moteur Mercedes devrait permettre de revoir ses ambitions à la hausse : «Je sais que c’était une décision difficile à prendre. Je sais qu’il y a beaucoup d’émotion, parce que nous sommes fiers d’être une équipe d’usine et que nous avons encore une année de travail ensemble l’année prochaine, mais je pense que c’était aussi une déclaration d’intention importante sur la direction que nous voulons. prends, a expliqué le Britannique. Nous nous ne sommes pas là pour inventer des chiffres. Nous voulons avancer. Je veux juste le meilleur moteur à l’arrière de la voiture. En fin de compte, pour moi, nous sommes ici pour courir. Je veux être devant la grille. Je ne veux pas être laissé pour compte. Et cruellement, le choix que nous avons fait a été de mettre le meilleur moteur à l’arrière de la voiture et d’aider l’équipe à continuer à gravir les échelons. » Pour Oakes, Mercedes a toujours su s’adapter aux changements de réglementation, ce qui devrait faire preuve d’un certain optimisme pour 2026. Quoi qu’il en soit, Alpine tentera d’honorer son moteur d’usine dans les prochains mois avant ce changement radical.

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Oliver Oakes a justifié la décision d’Alpine de passer à un moteur Mercedes et d’abandonner celui de Renault en 2026. L’écurie française estime que c’est la meilleure solution pour revenir en tête de la grille.

 
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