Comme les années précédentes, c’est mercredi que seront connus les prétendants à l’Hyperpole. Cette fois, au lieu d’une seule séance réunissant les trois catégories en compétition, deux séances d’une demi-heure seront organisées. Le premier pour les concurrents LM P2 et LMGT3, le second pour les Hypercars. A l’issue de la première demi-heure, les douze meilleurs en LM P2 et LMGT3 se qualifieront pour les séances Hyperpole du lendemain, où les 15 premières Hypercars subiront le même sort lors de la deuxième séance. Les positions sur la grille à partir de la treizième place (en LM P2 et LMGT3) et de la seizième place (en Hypercar) seront alors connues.
Jeudi, quatre séances de qualification seront organisées. La répartition des catégories sera la même que mercredi, avec tout d’abord une Hyperpole 1 pour les douze meilleurs concurrents en LM P2 et LMGT3. Après vingt minutes, les huit meilleurs de chaque catégorie s’affronteront dans l’Hyperpole 2, qui durera quinze minutes, et qui déterminera les quatre premières lignes des grilles LM P2 et LMGT3.
Rebellote ensuite pour les Hypercars, avec toujours vingt minutes d’Hyperpole 1, suivies d’un quart d’heure d’Hyperpole 2, cette fois avec les dix meilleurs prototypes de la catégorie reine. Le pilote le plus rapide de la H2 décrochera donc la pole position des 24 Heures du Mans, et c’est la voiture de son équipe qui s’élancera aux avant-postes lors de la grande classique mancelle. Une manière de donner encore plus d’importance à l’Hyperpole, et de séparer les différentes catégories afin de permettre à chacun de tirer le meilleur parti de sa machine dans une Hypercar, sans risquer d’être gêné par une voiture de catégorie inférieure.
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